Que dire de l’attentat de Marseille, que nos lecteurs ne sachent déjà, qui n’ait été vu et revu sur toutes les chaînes d’info en continu ? Tout le monde, aujourd’hui sait – ou croit savoir – tout sur tout, tout de suite ! Inutile d’en rajouter.
Qu’exprimer alors d’important qui ne l’ait déjà été ici ? Nous n’aimons pas tellement les redites logorrhéiques qui ne servent à rien sinon à passer sa colère, son exaltation indignée, son horreur, rafale de points d’exclamation à l’appui. Les sentiments que nous venons de dire, nous les connaissons tous ; ils ne servent pas le Pays au niveau qui convient. En tout cas pas avec le sérieux voulu. Les forces de l’ordre font leur travail avec courage et en grande part avec efficacité. Ce sont elles qui en courent les risques – les plus élevés. Et les assassins ressortent de leurs actions rarement vivants. Comme si, à leur encontre, une sorte de peine de mort, d’exécution immédiate, avait été tacitement et heureusement rétablie. Nul ne s’en étonne ni ne s’en indigne. Comme jamais, « nécessité fait loi » ! Les militaires de l’opération Sentinelle ont encore abattu le forcené d’hier, Gare Saint-Charles, à Marseille. Ils ont fait ce qu’il y avait à faire. Deux passantes sont mortes qui ne font que s’ajouter à la longue liste des victimes des fous de l’Islam. Se taire, s’incliner…
Mais pourquoi ces victimes, celles de Paris, de Nice, de Toulouse, de Levallois-Perret … hier de Marseille ? A raison de quelles causes, de quelle politique, puisque c’est de cela qu’il s’agit ? Et de quelles responsabilités ? Telle est la vraie question. Depuis les attentats de janvier 2015, il y a presque trois ans, rien de fondamental ne s’est ajouté. Les choses ont continué : les flux migratoires – comme avant et – comme il était prévisible – les attentats, en France et dans toute l’Europe. Ne s’est ajoutée que la vague supplémentaire des migrants réfugiés, ou prétendus tels. Folie supplémentaire elle aussi, sous le Haut Patronage européen d’Angela Merkel.
Pourquoi ces victimes ? A raison, à cause de quoi, de qui ? Nous avons répondu à cette question dès janvier 2015 – le 8 – et, après trois ans, nous ne voyons pas grand chose à y changer. Il nous semble avoir, alors, vu et dit l’essentiel.
Le voici :
« Quand on laisse entrer chez soi, en un laps de temps relativement court, des millions d’immigrés venus d’un autre continent, nés d’une civilisation radicalement différente, guidés par les mirages d’un niveau de vie que leur misère originelle rend terriblement attrayants et qui n’ont que peu de sens et de respect de ce que sont les mœurs, les lois, les traditions du pays où ils arrivent, quand on en a soi-même largement perdu l’amour et la pratique, il n’y a pas de quoi être étonnés des troubles et des violences qui se produisent inéluctablement. C’est la première réflexion qui nous vient à l’esprit après les événements tragiques d’hier, à Paris. Il y a longtemps, ici, en effet, que nous mettons en garde contre la politique d’immigration de la France, devenue plus périlleuse encore du fait de la crise économique et du laxisme de nos gouvernants. Du fait, aussi, d’un certain nombre de nos erreurs – de graves erreurs – en matière de politique étrangère. Il y a longtemps que nous signalons à quel point notre République vit sur une poudrière et qu’il peut arriver un temps où le travail de nos services de sécurité ne suffira plus à empêcher la multiplication des violences et des attentats. Ce temps est peut-être arrivé et il ne faut pas manquer d’en rechercher les causes, d’en marquer les responsabilités. Certes, tous les musulmans de France ne sont pas des terroristes. Loin de là. Nombre d’entre eux sont probablement en voie d’intégration. Et le réalisme devrait conduire, si nous en sommes capables, à les y aider, à les y encourager. Mais les risques de l’immigration massive demeurent ; elle est un terreau porteur de terribles dangers. Et, en tout cas, tous les terroristes qui menacent aujourd’hui la France le font au nom de l’Islam. »
Tout esprit censé comprendra qu’il s’agirait aujourd’hui de mettre en place une politique inverse de celle qui a été menée jusqu’ici en matière d’immigration. Et en bien d’autres domaines corrélés, encore : famille, Education, culture, médias. Etc. En bref, il s’agirait en tous domaines essentiels, selon la formule maurrassienne, de « renverser la mécanique de nos malheurs ». • Lafautearousseau
L’ affaire dite des placards ( affichage anti -catholique dans tout Paris ) sous François premier donna le signal de départ aux guerres de religions .
La survenue de la vague d’attentats en France après les publications de caricatures par une feuille de choux n’est pas sans rappeler cet épisode .
» ils. viennent jusque dans nos bras
Egorger nos fils et nos compagnes.. »…
Je laisse la suite en suspens
Il n’y a pas grand chose à ajouter en effet au commentaire de LFAR.
Le fait que le ou les auteurs des attentats soient abattus sans autre forme de procès exprime que l’on est en état de guerre contre le terrorisme en particulier islamique. Les islamistes ne se plaignent pas que leurs soldats soient ainsi traités. Ils estiment que ce traitement est normal et, même plus, ils le recherchent délibérément et s’en flattent.
On ne peut que penser « Au camp des Saints » de Jean Raspail. Les traîtres et les collabos du laïcisme jacobin ont abandonné, pour un temps, le communisme au profit d’un autre totalitarisme, l’islamisme. Mais peu importe, l’anticléricalisme n’est pas mort et la seule religion condamnable à leurs yeux est le christianisme. Preuve, s’il en est besoin, que si ces gens là considèrent le christianisme comme dangereux c’est qu’il doit être dans la vérité.
Rapprochement subtil et judicieux !
L’assassin de la gare Saint Charles,sans papier, arrêté cinq fois , et cinq fois relâché …
A l’attention de nos juges :
Pourquoi le » principe de précaution » ne serait il pas applicable en matière de terrorisme ?
Les deux jeunes filles assassinées à Marseille seraient vivantes.