Par Guilhem de Tarlé
Detroit, un événement historique par Kathryn Bigelow, avec Will Poulter et John Boyega
Aucune Alerte Info sur le sujet, serait-ce une « fake news » de Breizh-info et Riposte Laïque ou l’omerta de la presse mainstream ? « Une manifestation sauvage… (de)… près de 250 personnes, presque toutes d’origine africaine » contre l’esclavage en Libye, samedi dernier 25 novembre, à Nantes, aurait dégénéré en émeute raciste : « Sales putes de blancs ! »…
C’est en tout cas bien le sujet du long-métrage de Kathryn Bugelow, une révolte raciale des Afro-Américains contre les Blancs à Detroit dans l’état du Michigan, en 1967, et le film se polarise sur la riposte raciste de policiers insuffisamment formés, relaxés par un jugement tout autant raciste.
On peut donc épiloguer sur le racisme des Américains, comme en France sur le nôtre qui tenons simplement à sauver notre identité et nos racines, fiers de « nos ancêtres les Gaulois » et de la France « Fille aînée de l’Église ».
Mais à Detroit, le fait générateur de ce triple assassinat raciste, c’est bien l’insurrection raciale à laquelle les forces de l’ordre – police urbaine, police fédérale et armée – ont eu à faire face.
Ce film, très violent, est à donc à voir, tellement il est prémonitoire des « événements » que nous risquons de vivre en France, une guerre ethnique comme aboutissement d’une Ve République d’abandons et de trahisons. •
Attention à ne pas « faire aujourd’hui du rejet de l’autre le principe d’une sauvegarde de (notre) identité chrétienne » Je viens de citer Anne-Marie Pelletier, membre de l’Académie Pontificale pour la Vie, dans Le Monde du samedi 2 novembre 2017, « Idées » page 6. Je crains que ce soit une tendance forte de LFAR; ce n’est pas la mienne qui suis catholique et royaliste.
rejet de l’autre hors de quoi?
Hugues Noël et la brave commissaire pontificale ignorent le sens de l’altérité. C’est une tendance lourde de la pensée moderne et postmoderne. Ces gens-là feraient bien de lire Claude Lévy-Strauss ou Jean-François Mattéi, le philosophe.