Qui aurait pu imaginer un seul instant ce qui s’est passé, jeudi 14 décembre 2017 dans un bâtiment de l’Assemblée nationale ? On le verra en regardant, en diffusant même, cette vidéo.
Incroyable ! « La rébellion cachée », un film sur le génocide vendéen diffusé à l’Assemblée nationale from Reinformation.tv on Vimeo.
Reconnaissance des crimes de la Révolution, du génocide commis en Vendée par la Convention, des horreurs vécues par nos ancêtres sous la Terreur, récompense du travail des historiens, réparation d’une ou plusieurs injustices, tout cela est bien. Tout cela est surtout significatif de cet effort de reconquête intellectuelle et culturelle accompli par nombre d’auteurs et de penseurs ces dernières années au sein de notre famille d’esprit. Que la République se soit fondée en inventant, comme le montre Patrick Buisson, un terrorisme d’Etat nous renseigne surtout sur notre aujourd’hui, où s’exerce dans la même ligne, sous des formes certes moins violentes mais tout aussi destructrices, tout aussi efficaces et, en un sens, tout aussi totalitaires, est ce qui nous importe le plus de savoir. Prendre conscience de cette filiation entre hier et aujourd’hui, la révéler à nos concitoyens c’est cela qui est fécond et qui est important. La Révolution matrice des totalitarismes modernes, c’est ce dont nous aurons à nous souvenir le 21 janvier en commémorant l’exécution du roi Louis XVI. Lafautearousseau
Reportage à l’Assemblée nationale d’Armel Joubert des Ouches
Qui aurait pu imaginer un seul instant ce qui s’est passé, jeudi 14 décembre 2017 dans un bâtiment de l’Assemblée nationale ? Certainement pas les écrivains, les historiens, les amoureux de la vérité qui, depuis des décennies, cherchent à faire reconnaître publiquement les crimes commis par l’Etat lors de la révolution dite « française » de 1789, Reynald Secher en tête. Jeudi dernier, c’est donc « La rébellion cachée », le film-documentaire du réalisateur franco-américain Daniel Rabourdin qui a été diffusé à l’Assemblée. Une projection devant une petite quarantaine de personnes. Dans l’assistance, Guillaume de Thieulloy, le directeur du Salon beige, les assistants parlementaires des députés Marie-France Lorho et Emmanuelle Ménard, Philippine Rambaud et Charles de Meyer, des amis. Et c’est sous l’impulsion de ses deux députés que la chose a été rendue possible.
L’Etat va-t-il enfin reconnaître ses crimes ?
« La rébellion cachée », le film courageux et très touchant de Daniel Rabourdin, révèle, en une heure et quart, l’histoire d’un massacre de grande dimension. Le massacre de plus de 150.000 Français, en 1794, de paysans, d’ouvriers, de prêtres, de religieuses, des amoureux de la monarchie. Ils étaient Vendéens mais aussi Bretons. Mais les massacres ne se sont pas cantonnés à la seule région ouest de la France. Les républicains commirent des atrocités dans les régions de Lyon, Marseille et Paris. C’est donc ce film, ignoré des grands médias et de la classe politique dans sa presque totalité, qui fut diffusé dans une des salles de l’Assemblée nationale. Incroyable quand on sait que c’est la Convention, l’ancêtre de l’Assemblée nationale, qui décida de l’extermination des Vendéens parce qu’ils se battaient pour défendre leur Roi mais aussi leur foi ! Les preuves matérielles existent. Il suffit juste de les reconnaître…
Une injustice considérable
Si ce serait un miracle que l’actuelle législature reconnaisse enfin les crimes commis par ceux-là mêmes qui ont voté l’extermination sur cette terre chrétienne qu’était la Vendée, la diffusion d’un film sur le génocide pourrait être un premier pas. Car depuis plus de 220 ans, l’injustice envers les victimes défuntes et ceux qui ont contribué à l’exhumation de cette page de l’histoire de France est considérable. Reynald Secher est l’une d’elles. L’historien et écrivain breton – il est docteur d’État ès lettres et sciences humaines – est le spécialiste français des guerres de Vendée. Auteur de nombreux ouvrages sur le sujet, il fut aussi victime d’un complot manifeste visant à le discréditer et surtout à le priver de sa chaire à l’université. Son combat très courageux qui a démarré il y a plus de 25 ans contre un déni d’Etat, sera peut-être un jour enfin récompensé. •
Lentement mais sûrement, la vague monte….Ce film en est un signe, il y a d’autre signes dans notre actualité.. Cherchons-les et renforçons-les….La résurrection de la royauté ne s’annonce pas encore mais des changements importants se préparent obscurément. dans les profondeurs de la société. Une démocratie renouvelée et apaisée appellera le Roi dans un avenir à moyen terme. Tel est mon souhait et ma conviction!
Noël, Noël Hughes.
Le bon Noël Hugues a un discours démocratique et une âme dictatoriale. Il a décidé comment la monarchie se fera et ce qu’elle sera bien que personne n’en sache rien.
Cette projection du film « la rébellion cachée » au Palais Bourbon est une véritable…..révolution. j’espère que ce film pourra être diffusé dans toute la France et sur une chaine TV ( comme Histoire ou KTO ) et qu’il servira aussi à réunir les Royalistes qui chercheront leurs points communs au lieu de focaliser sur leurs différences.
Motus et bouche cousue , pour ce film ( sans LFAR , ne serait pas au courant )
Comparaison avec le film Katyn , il y-a- quelques années : en veilleuse . non projeté dans ma petite ville de province ( obligé d’ acquérir le CD pour le voir )
Leçon à tirer : le » camp d’en face » sait mettre en scène ses morts – un seul peut suffire bien mis en valeur – Mais il ( ce camp ) sait surtout nier ses crimes et quand cela n’est plus possible , mettre en place une chape de plomb : les nombreuses victimes ne sont rien et il n’en faut pas parler ni en laisser voir .
Il est bien optimiste de penser que cette projection , méritoire par sa symbolique ( le Palais Bourbon ) puisse être l’amorce de quelque regret que ce soit : c’est la république française . Aucun député ne s’est risqué d’être présent , si j’ai bien suivi . La » mise à mort sociale » de l’universitaire pouvait servir d’exemple .