Nous avons appris avec peine le décès d’Alain Bourrit, membre de longue date de l’Action française.
Il avait rejoint l’Union Royaliste Provençale peu avant Mai 68, à Marseille, où il a passé sa vie. Alain Bourrit était professeur de lettres, sa culture était vaste, ses centres d’intérêt variés. A la fin des années 60, il avait participé au camp Maxime Real del Sarte. Il a animé à Marseille et dans la région de nombreux cercles d’études ; il participait aux rassemblements royalistes de Montmajour et des Baux de Provence ; il y a quelques années encore, il avait donné plusieurs conférences aux Cafés politiques de Lafautearousseau [Photo ci-contre] : l’on en trouve trace sur Viméo.
Nous perdons un vieil ami dont nous garderons le souvenir fidèle. Lafautearousseau et l’Union Royaliste Provençale présentent à son épouse et à sa famille leurs amicales condoléances.
Alain Bourrit était Camelot du Roi.
Rendez-vous ce jour à 15 heures au funérarium du cimetière Saint-Pierre, à Marseille.
Nous nous connaissions depuis plus de quarante ans et que de souvenirs me rattachent à lui, comme tous ceux qui ont pu le côtoyer et ont été séduits par sa personnalité attachante.
Permettez moi de partager votre immense peine. Ne pouvant être présent demain, je transmets à ses proches mes très affectueuses condoléances.
Je suis malheureusement au regret de ne pas pouvoir représenter les royalistes du Var cette après-midi. Les royalistes provençaux perdent un ami et un militant de haute tenue intellectuelle. Nous nous souviendront longtemps d’Alain.
Nous presentons toutes nos condoléances à sa famille et l’assurons de nos prières.
Je me souviens bien de sa faconde et de sa générosité. Dors en paix, vieux camarade !
Grippé, je n’ai pas pu me rendre aux obsèques du « vieux camarade » qui vient de nous quitter. Je dirai de lui ce que Massis disait de Bernanos : « C’était un camelot du roi ». On le reste toujours. Il n’a cessé de s’intéresser à ce que devenait l’Action française au fil des années. Il était parfois critique, comme nous tous, les plus anciens. Et toujours fidèle. Ce sont les souvenirs que je garderai de lui.
alain mon petit frere etaitexceptionnel j aurais voulu parler de lui avec quelqun
Nous étions nombreux à avoir une vieille et profonde amitié pour votre frère. Et ce depuis notre jeunesse lointaine maintenant. Cela ne s’efface pas. Et l’AF est un lien puissant !
Sincères condoléances. Une grande pensée à mon ancien professeur qui m’a fait aimer le français.
J’en garde de très bons souvenirs et encore ce soir, je parlais de lui à mes deux enfants.
Laurent S.