Par Dominique Monthus
Un sympathique article qui dit la vérité sur certaines situations de fait évidemment intolérables. [Boulevard Voltaire, 12.02] La République française s’avère toujours plus incapable d’y porter remède et les laisse s’aggraver jusqu’à ce qu’une explosion survienne. LFAR
Sur les ravages de l’immigration en Europe, les yeux s’ouvrent les uns après les autres, les dominos tombent, et les forteresses que l’on croyait les plus inexpugnables s’effondrent. Devant la réalité des faits.
Ainsi, la semaine dernière, dans deux pays européens, deux acteurs d’institutions ou d’associations « migrants-friendly » ont fait leur coming out pour dire différents aspects très concrets de l’impasse migratoire.
En Allemagne, c’est une militante engagée dans l’aide aux réfugiés qui a confié à la presse polonaise et allemande l’amer savoir de son expérience au plus près des migrants musulmans. Elle s’appelle Rebecca Sommer. Pensant d’abord que « les visions médiévales des Arabes changeraient avec le temps », elle s’est rendue à l’évidence et a déclaré qu’il était « presque trop tard pour l’Allemagne ». Elle analyse le problème ainsi :
« Les réfugiés musulmans ont grandi avec un système de valeurs complètement différent du nôtre, ont subi un lavage de cerveau religieux depuis l’enfance et n’ont aucun désir de s’adapter à la vie occidentale. »
Elle a constaté que l’aide que l’Allemagne leur a accordée était regardée avec « arrogance et mépris ». Elle affirme avoir été traitée de « stupide salope allemande ». Rebecca Sommer tire de son expérience personnelle, de ce qu’elle a vu sur le terrain, deux enseignements : d’une part, l’islam prend une importance croissante dans la culture allemande, dans les institutions et les écoles ; d’autre part, les cultures européennes, si elles veulent survivre, doivent s’affirmer et se défendre. Rebecca Sommer a, en particulier, encouragé les Polonais à rester « inflexibles » dans leur opposition à la politique de l’Union européenne :
« Aucun peuple, ni groupe, que ce soient les Italiens, les Français, les Allemands ou les Polonais, ne pourront subsister en tant que nation, s’ils ne défendent pas de façon raisonnable leurs intérêts. »
Rebecca Sommer : un nom à retenir.
En France, on ne compte plus les déclarations de personnalités ou d’institutions culturelles en faveur des migrants, depuis le ministre de la Culture qui, complètement irresponsable, veut leur offrir des places gratuites de ciné ou de théâtre…
Or, la semaine dernière, la présidence de l’université Paris VIII, dont un bâtiment est occupé par une trentaine de migrants, après les avoir accueillis, découvre que ce n’est plus possible.
D’abord, elle déplore le manque de dialogue de la part de ces migrants et de ceux qui les soutiennent. Ils perturbent le fonctionnement normal de l’université, pénalisent les étudiants et se mettent en danger. Eh oui, les universitaires découvrent que trente migrants, cela crée des problèmes d’intendance. Si cette petite expérience pouvait les aider à mieux réfléchir quand ils brasseront, dans leurs statistiques et leurs réflexions, non plus une trentaine mais des millions de migrants, qui sait, peut-être leur vision du monde, de l’Europe, de la démocratie, de la culture en sera-t-elle un peu modifiée…
Le communiqué de la présidence continue ainsi :
« Si nous nous efforçons de répondre systématiquement aux demandes formulées, force est de constater que la réciproque n’existe pas ».
Tiens, des migrants fermés au dialogue… Il y est même question d’« impasse ».
Bien sûr, elle rappelle qu’au début, elle a soutenu l’occupation « par humanité », mais déclare à présent :
« Nous en appelons à la raison à notre tour. Tout le monde sait qu’il n’est pas dans les pouvoirs d’une présidence d’université d’obtenir des titres de séjour. »
Un peu tard, non ?
Cette affaire d’une présidence d’université prise à son propre piège est emblématique du problème idéologique français face à l’immigration : la raison n’arrive qu’à la fin, quand c’est le chaos, quand ce n’est plus possible.
Cette idéologie de gauche irresponsable, tiers-mondiste par réflexe soixante-huitard et qui est toujours là, à la tête de nos institutions éducatives et culturelles, bêlante, pour appeler à l’ouverture à tous et partout, a été incapable d’inventer un humanisme de la raison et nous lègue une situation violemment déraisonnable. De deux choses l’une : qu’elle se taise enfin ou qu’elle se convertisse comme Rebecca Sommer. •
Nos pays d’Europe de l’Ouest payent le prix de la » guerre contre les berceaux » implacablement menée par les centres de planification » familiale » depuis deux générations . Ces officines sont à fermer .
Comment ne pas voir que des zones de basse pression démographique sont des réceptacles naturels pour le débordement africain ( ce continent immense , riche en matières premières et /ou terres cultivables aurait cependant les moyen de garder les siens .
Peut être avec des chinois envoyant là des ingénieurs et techniciens pourraient ils apprendre à tirer parti de leurs atouts . C ‘est le seul espoir .
Ce n’est pas fini… Attendez encore un peu et admirez les bateaux qui viennent de l’Algérie…
Ce n’est pas grave, Monsieur Macron les intégrera sereinement en les faisant voter.
Le même phénomène s’observe sur Calais, des militants pro immigration ont découvert que bon nombre d’envahisseurs refusent de s’intégrer. De plus ils se battent entre Africains de la corne et Afghans, les premiers dopés à l’alcool, les seconds à l’Islam. La nature ayant horreur du vide, ce sera bientôt l’alternative suivante: où nous restons maîtres chez nous, où ils nous imposeront leurs mœurs d’un autre temps.
Et pourtant l’église catholique redouble d’efforts pour tenter de recruter de nouvelles ouailles, elle est tellement aveuglée par son évangélisation qu’elle conseille même de donner aux migrants les emplois que les français ne veulent pas pour causes de pénibilité !!! Les plus intéressés par cette situation immigratoire ce sont les associations musulmanes qui y voient une possibilité supplémentaire à leur politique de natalité : augmenter le potentiel humain de leur communauté .