Le 20 janvier, le Dauphin de France et sa famille ont reçu au Domaine royal de Dreux 33 cadets de l’association « Laissez-les-Servir » originaires de Seine-Saint-Denis, pour leur offrir une visite privée de la chapelle royale de Dreux.
Alors que cette visite devait initialement durer 2 heures, S. A. R. le prince Jean a gardé ces jeunes toute la journée. Le prince et sa famille ont partagé avec eux le repas et les ont invités à prendre ensemble un thé au sein des appartements princiers. •
Source : La Couronne
Magnifique reportage et un très grand merci au Prince Jean et à la Princesse Philomena pour leurs investissements au près des enfants des milieux défavorisés.
Bien d’accord.
Un grand merci au Prince, à la Princesse et à leurs enfants d’être ce qu’ils sont.
C’est un miracle !
Le Prince Jean d’Orléans, son épouse la Princesse Philoména et leurs enfants ont donné, à l’occasion de cette visite du domaine royal de Dreux, un magnifique exemple de simplicité, dévouement, accueil et ouverture envers des jeunes personnes issues de l’immigration, curieux et peut-être aussi avides de connaître les lointaines racines de la France. La Famille de France est la gardienne de la très longue histoire de la France qu’elle incarne au sens propre du verbe. Son existence est précieuse pour le bien-être du pays.
Pein accord avec Gilbert Claret. Nous devrions être plus nombreux ici à remercier les Princes. Mais il y a ceux qui n’osent pas. Qu’ils osent !
La simplicité des Princes est d’autant plus grande que la dignité les accompagne avec le naturel qui marque la sincérité . C’est à saluer .
Bravo ! Belle formule de style et d’esprit classiques. Qui, donc, dit le vrai. A retenir !
Richard a raison lorsqu’il parle de « naturel qui marque la sincérité » : Charles X disait : « il y a un accent du coeur qui ne se commande pas, et qu’on n’imite pas… ». Et Fabre et Claret ont raison aussi : nous devons être plus nombreux à soutenir les Princes et cette Famille de France, que nous avons bien de la chance d’avoir. Je l’ai dit plusieurs fois, et je le dirai encore, à temps et à contre-temps…