A Toulouse, l’extrême gauche colonise et bloque l’université du « Mirail
Dans cette lettre ouverte adressée au maire de Toulouse et au doyen de l’Université Toulouse Jean Jaurès, l’Action Française Toulouse dénonce la ségrégation raciale organisée au sein même de l’université du Mirail et appelle le maire de Toulouse à évacuer cette ZAD. En ajoutant : « Les entorses à la loi sont trop nombreuses ». L’anarchie et les violences d’extrême-gauche que les pouvoirs publics laissent s’installer en France à l’université et dans de nombreux autres secteurs finissent en effet par devenir insupportables pour une majorité de nos concitoyens. Mais, comme l’écrit avec raison un commentateur : « Bombarder la Syrie, c’est facile ; mater les antifas, c’est plus compliqué ! » LFAR
Le 16 avril 2018
A l’attention de M. le Maire de Toulouse
Et de M. le Doyen de l’Université Toulouse Jean Jaurès
Lettre ouverte
Signalement d’une activité à caractère ouvertement discriminatoire à l’Université Toulouse 2 Jean Jaurès (« 10 jours d’autodéfense populaire »), le 18 avril 2018
M. le Maire, M. le Doyen de l’université,
Nous prenons aujourd’hui l’initiative de vous écrire au sujet d’une situation alarmante à l’université du Mirail. C’est avec indignation que nous venons d’apprendre le déroulement de « 10 jours d’autodéfense populaire » au sein même de l’Arche du Mira, le mercredi 18 avril. Outre les ateliers « autodéfense numérique », « enregistrement rap » et autres fantaisies, ce singulier festival prévoit la projection d’un reportage « en non-mixité personnes racisées ». Il faut comprendre : réservé aux non-blancs.
Cela est inacceptable, car il s’agit de la discrimination pure et simple au sens du Code pénal. En effet, nous nous permettons de rappeler que l’article 225-1 de ce Code dispose : « Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur origine, (…) de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une Nation, une prétendue race », et l’article 225-2 1° « La discrimination définie aux articles 225-1, à 225-2, commise à l’égard d’une personne physique ou morale, est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende lorsqu’elle consiste : à refuser la fourniture d. bien ou d’un service ».
En l’espèce, il est clairement fait une telle distinction, afin de réserver à une catégorie déterminée de personnes un service {la projection). Ces faits semblent répréhensibles pénalement, et nous nous permettons de demander au moins que l’activité soit annulée. La violation est ici flagrante.
Après avoir compromis l’avenir de milliers d’étudiants et dédaigné la liberté d’étudier en prolongeant un blocage inexplicable au sein d’AG ahurissantes, après avoir dévasté l’université qui n’est plus qu’une ZAD, une minorité d’agitateurs se permet encore d’enfreindre les lois et la morale par l’organisation d’événements discriminatoires. Le déroulement d’un tel festival constitue un affront à votre autorité et un profond mépris des étudiants.
Cette situation est véritablement révoltante. Aussi, nous vous exhortons à prendre toutes les mesures qu’Il convient de mettre en place, afin que soient rétablis le droit et la liberté d’étudier. Vous ne pouvez permettre qu’une telle situation persiste impunément.
Veuillez agréer, Monsieur le Maire, Monsieur le Doyen, l’expression de nos sentiments les meilleurs. •
L’Action Française Toulouse
Encouragés par les tergiversations du Gouvernement , les excités de l’ultra gauche se sentent pousser des ailes et rêvent sans doute d’un nouvelle « lute des crasses » ou des classes, version Mai 68