Jean Gugliotta, président de l’Union Royaliste Provençale ouvre le colloque avec Hilaire de Crémiers, directeur de Politique magazine et de la Nouvelle Revue Universelle, et Christian Franchet d’Espèrey, rédacteur-en-chef
Nous retrouverons dès demain la grande actualité, l’actualité politique. Nous aurons le temps d’en traiter. Nous revenons ce lundi sur notre colloque de ce dernier samedi à Marseille.
Colloque que la gauche et l’ultra-gauche radicale prétendaient interdire par la menace ou par la force dont ils sont des habitués, et le faire annuler. Ce qui ne s’est pas produit.
Nous retraçons plus loin ces circonstances assez particulières et mouvementées parce qu’elles disent la situation de notre pays ; de notre société.
Ce ne sont pas seulement les organisateurs du colloque, mais aussi les participants, qui ont dû s’organiser – ils l’ont fait de grand coeur – pour faire face à une situation qui a quelque chose à voir avec ce qu’en France on a appelé la Terreur, car la chose et le mot ont été inventés par et dans notre pays autour de 1793.
Ce qu’a été ce brillant colloque heureusement maintenu, ce qu’est sa teneur, nous ne le dirons pas ici car une vidéo que nous mettrons en ligne assez vite et plus tard des actes seront bientôt disponibles.
Disons seulement que ce colloque a été studieux, érudit et brillant. Joyeux aussi, parce que maintenu. Et parce que les équipes de jeunes ont su le prolonger au moment des repas – de midi et du soir – en organisant avec talent et avec dévouement de somptueux buffets où la discussion et l’amitié furent à l’honneur.
De beaux moments d’unité maurrassienne dans toute sa profondeur. Il faut en remercier les organisateurs et les intervenants*.
« J’ai mes livres, j’ai mes disciples, j’ai l’avenir devant moi » avait lancé Maurras à ses indignes accusateurs de Lyon… •
* Hilaire de Crémiers, Christian Franchet d’Espèrey, Stéphane Blanchonnet, Jean-Philippe Chauvin, Jean-Baptiste Donnier, Bernard Pascaud, Gérard Leclerc et Jacques Trémolet de Villers.
N’ayant pu être présente, je suis très heureuse que ce colloque ait eu lieu, malgré les oppositions haineuses. Il faut montrer que nous ne nous laissons pas intimider par de viles menaces. TENIR.
Chaleureuses félicitations aux dominicains qui ont tenu tête, aux organisateurs courageux et aux participants, heureux de se retrouver et d’échanger, de faire preuve de leur détermination à dire et faire comme ils pensent. On nous rebat les oreilles avec la « lutte des classes »…. Nous, nous luttons pour la liberté de penser et de s’exprimer.
Erreur de ma part au sujet des dominicains : je n’avais pas encore lu l’article indiquant le lieu du colloque.
Une bonne organisation malgré les menaces qui ont obligé les organisateurs à improviser,de bons intervenants,Une bonne journée de rencontres,d’amitiés.Merci à tous.
E t ces gens là, qui voulaient interdire ce colloque, se proclament démocrates ce ne sont que des sectaires haineux et qui ont peut-être peur des idées de MAURRAS, toujours d’actualité
Moi non plus je n ai pu être présenté et j en suis vraiment désolée mais je vous soutiens de mon Coeur ! Bravo à vous d avoir tenu bon pour mettre à l honneur Charles MAURRAS !