Par Guilhem de Tarlé
Monsieur Je-sais-tout, une comédie dramatique de François Prévôt-Leygonie et Stephan Archinard, avec Arnaud Ducret (Vincent Barteau), Max Baissette de Malglaive (Léonard, neveu de vincent), Alice David (Mathilde, médecin) et Caroline Silhol (Françoise Barteau, mère et grand-mère de Vincent et Léo), adapté du roman d’Alain Gillot, La surface de réparation (Flammarion, 2015).
« Un film très bien, très très bien, un film très très bien … »
Monsieur Je-sais-tout… Je ne savais rien de ce film sauf la bande-annonce qui avait tenté mon épouse.
Après la mise en scène de la maladie d’Alzheimer, dans la médiocre Finale, voici un scénario sur l’autisme, et je me rappelle avoir bien apprécié Rain Man, en son temps – 1988 –, avec Dustin Hoffman et Tom Cruize.
Je découvre sur ce sujet l’existence d’une longue série de productions, jusqu’à ce 48ème long-métrage, excellent, émouvant et, en même temps – comme dit l’autre –, plein d’humour et de bon sens « normal », avec une mention spéciale pour les réalisateurs qui nous introduisent véritablement dans le cerveau du petit Léo.
Puisque je viens de l’évoquer, et pour en finir avec La Finale, j’y avais retenu l’interprétation de Thierry Lhermitte dans ma liste perso de nominés à l’Oscar du Meilleur Acteur. C’est avec empressement que je fais aujourd’hui monter sur le podium le jeune Max Baissette de Malglave ( il fêtera son dix-huitième anniversaire en juin prochain) pour son interprétation de Monsieur Je-sais-tout. •
PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plusieurs dizaines d’autres sur mon blog Je ciné mate.