Par Guilhem de Tarlé
Hedy Lamarr : From Extase to WIFI, un film d’Alexandra Dean, dont le titre original est Bombshell, the Hedy Lamarr Story
« Je sais que je ne sais rien », et il date, mon souvenir de Samson et Dalila réalisé par Cecil B. DeMille…
Ce film confirme donc à la fois mon inculture cinématographique et mon inculture scientifique puisque ce nom de Hedy Lamarr, alias Hedwig Eva Maria Kiesler, ne me dit rien.
L’autre jour Giacometti, aujourd’hui Hedy Lamarr… je regrette de ne pas avoir pris ma retraite plus tôt, à courir les biopics pour découvrir des personnalités dont j’ignorais tout.
Je n’avais non plus jamais entendu parler du « saut de fréquence »… Peut-être une leçon de physique que j’ai oubliée ou, plus probablement, que j’ai oublié d’apprendre.
A Georges Brassens qui chantait – « on ne demande pas aux filles d’avoir inventé la poudre » -, et à tous les adeptes du « sois belle et tais-toi », l’actrice démontre, scientifiquement, qu’on peut être belle et, « en même temps », intelligente.
Un documentaire très intéressant, malheureusement distribué en VOST alors que l’essentiel est dans le commentaire et les entretiens qui accompagnent la mise en scène, par elle-même remarquable. Dommage qu’il faille se polariser, le cou tendu vers l’écran, sur des bouts de phrases, souvent mal tronqués, qui défilent trop vite, image après image, au lieu d’écouter le propos en en regardant l’illustration cinématographique.
Je le répète, je vais au cinéma pour voir, et non pas pour lire.
Sous cette réserve, on peut s’extasier devant une telle femme. ■
PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plusieurs dizaines d’autres sur mon blog Je ciné mate.
On oublie qu’en plus de sa beauté, elle inventa un procédé utilisé en communication, prévu pour les sous marins, il sera utilisé dans les téléphones cellulaires. Après Samson et Dalila, elle aurait pu faire fortune comme…..COIFFEUSE