Oualid B…, djihadiste, a été libéré en avril, « après une erreur du juge d’instruction », nous disent pudiquement les medias « mainstream » (en bon français : inféodés au Système, genre Drahi/BFMacronTV). Un assassin potentiel est donc en liberté au milieu de nous tous, 66 millions de victimes non moins potentielles ! Charmant…
Ce monsieur est en outre l’un des responsables d’un vaste réseau d’acheminement de combattants entre la Syrie et la France.
Embarrassé, le Ministère de la Justice tâche de (se) rassurer en justifiant d’un « contrôle judiciaire très strict ». Mon oeil ! Autant mettre un sparadrap sur une jambe de bois !…
Quand on connaît la dangerosité et le fanatisme de ces personnages, en plus de l’inefficacité de fait du contrôle judiciaire.
A-t-on jamais vu les Charlots, ou les pieds nickelés, diriger la cellule anti-terroriste de Paris ou de Bobigny ? Marc Trevidic, dans son ouvrage intitulé « Au coeur de l’anti-terrorisme », alertait déjà sur ces défaillances et sur le manque de moyens humains, logistiques et financiers pour mener à bien sa mission de lutte contre le terrorisme : il se retrouve avec une promotion placard c’est-à-dire vice-président du TGI de Lille… en charge des affaires familiales !
La politisation et le corporatisme sont les deux cancers qui rongent de l’intérieur la magistrature française. Que voulez-vous ? On ne va pas demander aux soviets du Syndicat de la Magistrature (regroupant près des trois quarts des magistrats) de juger autrement que comme ils pensent : à gauche et à l’extrême gauche !