Par Guilhem de Tarlé
A l’affiche, En eaux troubles, un film de Jon Turteltaub, avec Jason Statham (Jonas), adapté du roman Meg. A Novel of Deep Terror de Steve Alten.
Non, ce film n’a rien à voir avec Macron et Benalla, et le requin n’est pas l’un de ces « financiers qui mènent le monde », comme l’écrivait Henry Coston.
Il s’agit d’un film catastrophe, et il est vrai qu’en ces termes le susnommé se pose là. De même qu’en requin il s’y connaît quand il s’agit de radariser les automobilistes et de csger les retraités.
C’est un bon film de science-fiction, meilleur que, dans les mêmes eaux et autant que je m’en souvienne, Les dents de la mer, nonobstant qu’ à la fin, trop est un peu trop et le scénario frise le grotesque.
Ce long-métrage met en tout cas à l’honneur le courage et l’abnégation de ceux qui savent prendre des risques et donner leur vie pour les autres. Nous pensons au Colonel Beltrame. Il pose aussi la question cruciale du tout ou rien, prendre la décision dramatique d’abandonner certains pour sauver quelques-uns, ou tous les perdre .
On notera enfin que le héros s’appelle Jonas comme le prophète qui passa trois jours dans le ventre d’une baleine… ■
PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plusieurs dizaines d’autres sur mon blog Je ciné mate.