« C’est un spectacle violent que Jean-Luc Mélenchon a immortalisé mardi 16 octobre. Mais au-delà des perquisitions de son domicile et des sièges de son parti qui ont alimenté cette virulence, cette perte de contrôle pourrait cacher un malaise bien plus profond et plus inquiétant pour notre démocratie. »
C’est tout particulièrement Jean-Sébastien Ferjou, le directeur d’Atlantico, qui a l’esprit politique.
Coqueluche des débats télévisés, sa capacité d’analyse les domine largement.
Très souvent – mais pas toujours – ses idées nous semblent très justes. A suivre ! LFAR
Méluche était élu sénateur socialiste dès 1986 (première élection en 83), alors que Macron était encore en culottes courtes : né en 1977, il avait 9 ans quand Méluche profitait déjà grassement du Système et du Pays légal… Alors, Méluche opprimé, persécuté, traqué ? « La bonne blague !… », comme dirait l’autre. Son révolutionnarisme est imbuvable, tout autant que son immigrationnisme forcené ou son bolivarisme abracadabrantesque (hérité d’une mauvaise lectrure de Tintin ?…). Ce matin France info révélait des surfacturations en nombre pour sa campagne : payées par le contribuable, c’est-à-dire vous et moi, ces surfacturations portent un nom, en bon français : ESCROQUERIE !
J L MELANCHON, c’est Super Polo, un Raymond BUSSIERE en plus hargneux