par Gérard Leclerc
Il paraît, selon l’historien Pierre Vermeren, que la France compte plus de 30 000 ronds-points, soit la moitié des giratoires du monde.
Il y a donc quelque logique dans le fait que l’attention se soit portée, plus d’un mois durant, sur ces lieux qui quadrillent notre territoire national et sont souvent d’une remarquable laideur. Que les gilets jaunes en aient fait des exemples de convivialité constitue un paradoxe bien intéressant. La France des territoires n’est pas seulement révoltée, elle a besoin de reconstituer un véritable tissu de solidarité pour contrer un processus de dissociation et de désintégration qui va de pair avec la disparition des activités locales et la grande misère de notre agriculture.
Une question se pose à partir de ce constat. Ce qui relève du local, du territorial, est-il en relation avec le mondial et ce qu’on appelle la mondialisation ? C’est le constat de Christophe Guilluy, dont nous avons souvent cité les travaux. La France périphérique, comme d’ailleurs l’Angleterre périphérique et même les États-Unis périphériques, est la grande perdante de la mondialisation, dont certains chantaient pourtant inconditionnellement les louanges à la fin du XXe siècle. Une concentration des richesses s’est produite dans les métropoles, au détriment des régions de plus en plus déshéritées. Un seul chiffre significatif : une douzaine de métropoles françaises rassemblent près de 46 % des emplois, dont 22 % pour la seule aire urbaine de Paris.
Est-ce une tendance inéluctable, juste propre à susciter des révoltes désespérées qui risquent de très mal tourner ? Ou est-il possible de remettre en question le fonctionnement de la mondialisation avec ses postulats incontournables : l’ouverture inconditionnelle des frontières, la circulation des capitaux et la spéculation qui s’en suit ? Interrogé par La Croix, Olivier Blanchard, ancien chef économiste du FMI, n’hésite pas à déclarer : « Nous avons à remettre en cause un certain nombre de dogmes du capitalisme mondial. » La liberté totale du commerce international serait à revoir, même si elle bénéficie à certains consommateurs, eu égard à son lourd coût social. Très bien ! Mais l’avis d’un expert sage et lucide peut-il quelque chose contre le train du monde de la mondialisation ? ■
Puisqu’on parle de ronds-points…
Pour voir l’aboutissement de leurs justes revendications, les Gilets Jaunes doivent comprendre deux choses :
1. Perte des repaires moraux, déclicasations chomage, précarité, insécurité, lois liberticides et fiscalité conscatoire : AUJOURD’HUI, CE N’RST PLUS LA FAUTE A MARIE-ANTOI NETTE !
2. Renverser LE PETIT Emmaneul maCrON, pourquoi faire ? pour le remplacer par UN GRAND TETE DE mélancChON nous gavent en core plus de taxes et d’immigration-invasion ? NON, ce n’est pas une personne qui doit être changé, c’est TOUT LE SYSTEME !
Et les fonctionaires des forces publique comme des forces armées, QUI, AVANT-HIER SERVAIENT LA MONARCHIE CATHOLIQUE ET ROYALE, HIER L’EMPIRE ET AUJOURD’HUI LA REPUBLIQUE TOUJOURS AUSSI FIDELEMENT, ils doivent se souvenir que, du temps des Rois, ils étaient EXEMPS d’impots direcs car payant déjà L’IMPOT DU SANG, comprenant au passage que servir une éventuelle Restauration, ils continueront à servir la France : LE ROI, C’EST LA PRESENCE DU SACRE DANS LE POUVOIR, LA CONTINUITE DE LA FRANCE, LE DESTIN NATIONAL INCARNE PAR UN SOUVERAIN INDEPENDANT DES CAPPRICES DU SUFFRAGE U ET DU DIKTAT DE LA FINANCE INTERNATIONALE.
Si la République devrait tomber, servir une nouvelle Restauration, servir un nouveau Roi, ce serait CONTINUER A SERVIR la France…