Par Guilhem de Tarlé
A l’affiche : Casse-Noisette et les quatre royaumes, un film américain de Lasse Hallström et Joe Johnston, avec Mackenzie Foy (Clara), Morgan Freeman (Drosselmayer), Keira Knightley (la fée Dragée), Helen Mirren (Gingembre), Jayden Fowora-Knignt (Phillip), adapté du conte d’Hoffmann Casse-Noisette et le Roi des souris (1816).
C’est il y a 6 ans exactement, en décembre 2012, que nous sommes allés voir au cinéma le ballet de Tchaïkovski … et nous en sommes partis, honteux, à l’entracte… en nous cachant de nos amis ou relations que nous avions croisés au début de cette soirée artistique et mondaine.
Mais Casse-Noisette et les quatre royaumes, j’en avais entendu une bonne critique que je crois quand même justifiée.
C’est surtout un film pour enfants, et j’aurais pu m’y initier à la beauté d’un « ballet pour les nuls ».
C’est raté, et même le jeune public qui remplissait la salle semblait davantage intéressé par ses paquets de bonbons et de pop-corn, si je me réfère au bruit qui couvrait les voix trop basses des actrices.
J’espère qu’il a au moins bien assimilé le me(ti)ssage mondialiste qui impose à ce conte allemand un quota de « diversité » avec, notamment, Drosselmayer, le parrain de Clara, et Phillip, le garde Casse-Noisette. ■
PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plusieurs dizaines d’autres sur mon blog Je ciné mate.