Monseigneur le Duc de Vendôme, nouveau Chef de la Maison de France à la suite du décès de son père, le Comte de Paris, doit être connu des Français et, naturellement, des royalistes eux-mêmes. Y contribuer nous paraît être une action utile. Notamment dans un contexte où les Français ont le sentiment d’une absence flagrante de légitimité à la tête du Pays. Les obsèques du Comte de Paris se dérouleront à Dreux samedi 2 février. Aussi nous proposons-nous de mettre en ligne ces jours-ci des documents permettant de retrouver où découvrir la vie, la pensée, ou la personnalité même du Chef de la Maison de France. Bonne lecture ! Bonne écoute ! ■ Lafautearousseau
Descendant direct du Roi Saint Louis, la famille de Monseigneur le duc de Vendôme a régné sur la France pendant neuf siècles, d’Hugues Capet jusqu’à Louis-Philippe. Héritier légitime des quarante rois qui ont fait la France, Monseigneur le duc de Vendôme est depuis le décès de son père, lundi 21 janvier 2019, le nouveau chef de la Maison royale de France. Si les Français décidaient de renouer le fil de leur histoire, il régnerait sous le nom de Jean IV de France.
Le Prince Jean d’Orléans est né le 19 mai 1965 à Boulogne-Billancourt. Fils du comte de Paris, Henri VII de France et de la princesse Marie-Thérèse de Wurtemberg, duchesse de Montpensier, le prince est apparenté à la plupart des familles royales régnant en Europe.
À Amboise, en 1987, année de la célébration du millénaire capétien, le Prince Jean a été titré duc de Vendôme par son grand-père, le comte de Paris, Henri VI de France. Tandis que le Prince Eudes, son frère cadet était titré Duc d’Angoulème.
Dans son parcours universitaire, le prince a eu le souci constant de développer ses capacités d’analyse et de réflexion, et d’approfondir sa connaissance des réalités politiques, sociales et économiques contemporaines. Le Prince Jean est titulaire d’une maîtrise de philosophie à la Sorbonne. Son mémoire a porté sur l’actualité de la notion de bien commun. Le Prince Jean de France a également obtenu une maîtrise de droit, en se spécialisant dans le domaine des relations internationales. Le prince a terminé son cursus avec une maîtrise en administration des affaires (MBA) qu’il a passée à Los Angeles (Californie). Il a effectué son service national comme officier : après quatre mois de classes à l’école de cavalerie de Saumur, il a été affecté au commandement d’un peloton de chars de combat au 7e régiment de Chasseurs à Arras. Sa vie professionnelle l’a ensuite conduit à exercer des responsabilités dans le domaine du conseil en management et organisation d’entreprise, puis dans le secteur bancaire.
Le 2 mai 2009, le prince Jean de France a épousé en la cathédrale Notre-Dame de Senlis Mademoiselle Philomena de Tornos y Steinhart, née le 19 juin 1977 à Vienne, fille d’Alfonso de Tornos y Zubiría et de Marie-Antoinette Edle von Steinhart, petite-fille de Juan de Tornos y Espelíus, ancien chef du secrétariat personnel du comte de Barcelone. Depuis 2011, le duc et la duchesse de Vendôme habitent au domaine royal de Dreux avec leurs cinq enfants :
• Le Dauphin, S.A.R. le prince Gaston de France
• S.A.R. la princesse Antoinette de France.
• S.A.R. la princesse Louise-Marguerite de France
• S.A.R. le prince Joseph de France
• S.A.R. la princesse Jacinthe de France
Descendant légitime de la dynastie nationale française, Monseigneur le duc de Vendôme, assume pleinement la tradition de dévouement de sa famille au service de la France et des Français. Il se définit comme prince chrétien et prince français.
Prince tourné vers l’avenir, il a depuis plusieurs années , parcouru la France et rencontré des acteurs de la vie économique, sociale, culturelle et politique. Il a pu ainsi acquérir une vision précise, profonde et générale de notre pays. Il a complété cette démarche par des voyages à l’étranger où il a été reçu non seulement comme un témoin du passé de la France mais aussi comme une incarnation de son avenir. En octobre 2009, il a effectué une première synthèse de son expérience dans son livre d’entretiens Un Prince français (éd. Pygmalion).
Dans cet ouvrage, il évoque son destin personnel et sa place dans la Famille de France, et présente les aspects essentiels de son engagement, en tant que prince de France, au service de la France et des Français. Symbole d’unité, principe vivant d’identité, il représente la permanence nécessaire à la bonne évolution d’un monde qui bouge.
Entre les urgences de la mondialisation et de la crise et les besoins d’identité et d’enracinement, il veut occuper utilement une place laissée vacante et pourtant indispensable à intérêt national. De nombreux pays européens profitent, chacun à leur manière, du bienfait de la légitimité naturelle offerte par les familles princières ou royales. Une telle présence garantit la pérennité du bien commun des familles, des entreprises et de la nation. ■
Et trois courtes vidéos …
En 1987, année du millénaire capétien, le Comte de Paris titre son petit-fils le Prince Jean, Duc de Vendôme. Paroles du Prince qui a alors 22 ans.
Le 2 mai 2009, mariage du Prince qui épouse en la cathédrale Notre-Dame de Senlis Mademoiselle Philomena de Tornos y Steinhart. Deux brefs reportages …
De nombreux pays européens profitent, chacun à leur manière, du bienfait de la légitimité naturelle offerte par les familles princières ou royales. Une telle présence garantit la pérennité du bien commun des familles, des entreprises et de la nation!!!.
J’aimerais bien savoir quels sont ces pays.. Les monarchies constitutionnelles européennes ne servent à rien., Preuve en est que les problèmes de ces pays sont très exactement les mêmes que chez nous. (disparition du politique et du bien commun en particulier) Quelle est donc cette manie de nous les proposer comme modèles, alors qu’elles ne sont que des contre exemples de ce que nous souhaitons ? L’oligarchie financière serait-elle moins puissante en Angleterre ou en Espagne ? Cessons de rêver à à une monarchie de pacotille qui permettrait de ne gêner personne et surtout pas la « Davocratie »..
Tout cela est bel et bon mais il reste l’épine Louis de Bourbon, duc d’Ajou que wikipédia présente comme « l’aîné des Capétiens, chef de la maison de Bourbon et prétendant légitimiste au trône de France, appelé Louis XX par ses partisans. Louis de Bourbon fait usage des pleines armes de France (« d’azur à trois fleurs de lis d’or ») ».
Cela n’arrange pas les affaires des royalistes français, avec les débats sur le testament de Louis XIV d’un côté et le « testament de facto » de Philippe Egalité de l’autre. On n’avancera pas sans une solution crédible et accepté de ce conflit de légitimité. Les royalistes sont-ils donc tellement nombreux en France qu’ils puissent se payer le luxe d’une telle division ?….
Monsieur Antoine de Crémier je me permets de croire que la France reste la France construite par nos rois. Je vous passe l’histoire que l’on apprends plus, et pour cause,
Mais c’est encore cette France qui avec son roi Louis XVI a abolie les privilèges. Oui vous avez raison , nous ne sommes pas les seuls a nous être laissé endormir par les politiques et les médias, jusqu’à défendre l’impôt sur la fortune que nous ne pouvons pas payer et pour cause, d’accepter de démolir nos usines, nos industries, nos services publics pour nourrir les plus fortunés qui se permettent de ruiner notre modèle social. Illusions perdues peut être, mais ces jeunes « gilets jaunes » surprise de nous tous, prennent conscience de leur haut niveau de compétence. Ils ne veulent plus produire de l’argent uniquement pour les banques. Notre génération, pardon ma génération s’est laissé confisquer ses droits, ils viennent les défendre. Et vous prenez conscience que les idéologies du 18-19 et 20 ième siècles sont dépassées. Qu’aucune n’a apporté le bonheur, et qu’il est temps de changer notre manière de penser.
On peut alors souhaiter qu’un souverain protégerait son peuple travailleur en lui redonnant le monde de la production, sauvant des emplois, produire mieux chez nous, au lieu d’importer du médiocre qui fini à la poubelle. Nous ne sommes plus à la nuit du 5 aout, le mal n’est pas uniquement matériel et politique, il est dans la profondeur de nos âmes, Il nous faut ensemble revoir notre pensée, retrouver nos racines les plus enfouies , comprendre la vie qui vit autour de nous, il faut ajouter à la pensée chrétienne qui prend source dans l’organisation Celte, l’animisme de nos ancêtres Indo Européen.Toute vie a une âme, une intelligence. Alors oui, il nous faut nous unir et trouver de l’aide pour nous débarrasser de tous ceux qui profitent du peuple et qui ruinent notre modèle social, construit par nos pères. le mal, vous avez raison, n’est pas uniquement Français, mais il est en France ,
Nous devons ensemble, exploiter nos racines, notre savoir historique,notre construction de la pensée historique simplement pour vivre encore. Je peux me tromper, mais il me semble que le mal est plus profond qu’un simple problème de politique des hommes, il résulte de la non connaissance des choses de la vie, bien distillée par ceux qui profitent, il faut élever nos esprits, par la connaissance et par de bons raisonnements. L’homme n’est pas le seul a avoir de l’esprit, malheureusement il est seul à le croire. Nos politiques parlent avec la tête(formée par les écoles de la république et des grandes fortunes) il s nous faut parler avec notre coeur pour sauver la France. Le père Gilbert. J’ajouterais qu’un homme seul ne peut pas grand chose, un peuple uni avec lui, par la pensée, peut résoudre le mal profond qui s’est installé sur l’exagone.
1. Quelle est l’utilité pour nous de débiner les monarchies étrangères ? Est-on si sûrs que les problèmes y soient « exactement les mêmes que chez nous » ? La nation britannique dans l’UE avait conservé sa monnaie et exigé un statut particulier, elle y avait préservé sa souveraineté, elle a ensuite voté le Brexit et va probablement l’exécuter à son profit. Je ne vois pas que cette nation ait perdu le sens du politique et du bien commun, le sien. La monarchie en est le symbole et cela suffit car ce peuple a le sens instinctif de ses intérêts et est opiniâtre à les défendre. . Sommes-nous dans un cas comparable ? Je ne crois pas. Quant à l’Espagne, elle aurait déjà volé en éclats sans la monarchie. Si faible soit-elle. Sans le discours énergique du roi Philippe VI, à un moment crucial la république catalane aurait été proclamée à Barcelone il y a deux ans, l’Andalousie à Séville et le Pays basque à Bilbao auraient suivi et nous aurions l’anarchie à nos portes. Soyons assez lucides et assez forts pour proposer une monarchie drlon nos voeux, à la française, c’est à dire qui gouverne. Nous en sommes encore assez loin, me semble-t-il et ce qu’elle pourrait être sera fonction des situations, plus que des théories.
2. On ne peut pas tuer Louis de Bourbon ni ses partisans qui le font parler et commémorer. Il est loin de France. Il n’est pas Français et parle notre langue avec l’accent de son pays. Politiquement son engagement est de plus en plus en Espagne où certains le considèrent comme leur roi et c’est très bien ainsi. Qu’y pouvons-nous ? Cette présence jette un trouble ? Je crois qu’il nous faut faire avec. A quoi servons-nous ? Soyons plus actifs et plus forts !
Les idées ne manquent pas parmi les lecteurs et contributeurs de LFAR et, parfois voire souvent, s’opposent. La sagesse et l’efficacité serait, dans un premier temps, de s’accorder sur la personne du meilleur « prétendant » (les guillemets s’imposent puisque deux personnalités d’essence royale peuvent prétendre à la mission que la royauté française impose à celui qui peut le mieux l’incarner), au trône de France. Ma préférence va au Prince Jean de France pour son aptitude à la fois simple et digne d’être proche des gens quelle que soit leur condition.
Nous disons: à la France il faut un ROI, d’autres prétendent: nous avons un candidat Roi, il lui faut une France. Le Duc de VENDOME est né en France, y a étudié, effectué son service militaire, il y vit avec sa famille et y travaille. Il est DONC le Prétendant véritable à la Couronne de FRANCE..
La France est au bord de l’abîme; Les Français ont besoin de retrouver une pensée cosmique, spirituelle et cosmique. Le cadre politique des dirigeants est dépassé, il faut revoir la vie non par la tête, si bien remplie de nos dirigeants, mais avec le coeur. Nous somme un élément de la la vie cosmique, seulement un élément, nous n’avons pas le monopole de la destruction de la nature. C’est l’homme mis en tête qui va guider l’ensemble. Cet homme doit être accepté par nous tous, C’est inutile et médiocre de mettre en marche une quelconque compétition. Le peuple va s’en servir pour rejeter le futur souverain quel qu’il soit.
Quant on dresse un projet , il doit être clair, et on ne s’en éloigne plus. Nous avons le valet des puissants bourgeois de la planète, Nous connaissons le futur souverain du peuple constructeur et intelligent, Il connait ses sujets, il travaillera pour eux et non pour les plus riches de la planète. Voyez l’exemple de l’Angleterre et de son « Brixit » , les Français n’ont pas la primeur de ne plus savoir ou les dirigeants les mènent, à la côte ou au large?
Plus qu’un souverain dirigeant, les Français, et les Européens ont grand besoin de retrouver un lien avec la spiritualité, Ils ont besoin de retrouver des liens avec la vraie vie.
Je souscris aux observations de Gilbert Claret sur les qualités du Prince Jean de France. Mais il me semble qu’il y a des raisons plus objectives de le soutenir qu’une question de « préférence » personnelle. Il y a des règles dynastiques qui gardent leur valeur parce que sinon, chacun choisira son roi et les prétendants risquent de se multiplier. Au dessus des règles, il y a le fait que le Prince doit être français, non seulement par ses papiers, ou de lointaines ascendances, mais par son existence même, son engagement quotidien pour la France, sa vie en France, Etc. C’est ainsi qu’à mon avis, on ne peut établir une exacte symétrie entre un prince d’une famille devenue espagnole depuis trois siècles et qui n’a plus participé à la vie nationale depuis lors, et un prince issu d’une famille qui, au contraire, a toujours pris sa part de la vie et des épreuves du pays.
Le prince Louis de Bourbon s’occupe activement ces temps-ci à la défense de son arrière-grand-père, le général Franco. Il vit continûment à Madrid et n’est jamais en France que de passage. Il ne mérite pas notre hostilité. Mais il ne pourrait pas être notre roi.
Sur cette question, un accord unanime ne sera sans-doute jamais possible.
Sur Lafautearousseau au moins, la position est claire : on soutient le prince Jean.