Après avoir publié ce lundi sur son site internet, un article intitulé « Le prince Jean d’Orléans est officiellement le nouveau comte de Paris », le magazine populaire Paris Match continue de présenter le nouveau Chef de la Maison de France aux Français dans son édition papier sortie hier dans les kiosques.
Dans cet article, en mode Paris-Match, Henry-Jean Servat présente aux lecteurs le nouveau comte de Paris, Jean d’Orléans, et son épouse Philoména, comtesse de Paris. Il revient sur les funérailles royales de son père qui ont eu lieu ce samedi à la Chapelle royale de Dreux.
Un article sincère, qui vient donc se rajouter aux très nombreux articles consacrés à la famille royale de France, publiés ces trois dernières semaines dans la presse, tant nationale et locale que dans la presse internationale.
Voici l’article en question paru hier. (Photo en en-tête).
DEPUIS LE DÉCÈS DE SON PÈRE, LE COMTE DE PARIS, IL EST LE NOUVEAU PRÉTENDANT AU TRÔNE DE DANCE
JEAN D’ORLEANS
LE ROI EST MORT VIVE LE ROI !
Par Henry-Jean Servat – Photos Baptiste Giroudon
« Nos relations ne furent pas toujours bonnes et, comme dans beaucoup de familles, nos rapports père et fils connurent frictions et tensions. Mais, ces derniers temps, depuis le décès de mon frère François, elles s’étaient améliorées et, aujourd’hui, le comte de Paris oublie et pardonne les avanies subies par le duc de Vendôme », déclare Son Altesse Royale, souriant à demi, avec des éclats de sincérité teintés de mélancolie.
Au lendemain des obsèques d’Henri d’Orléans, le prince Jean, rencontré ce lundi à Dreux, annonce la couleur. L’héritier des rois qui régnèrent sur la France, descendant en ligne directe d’Henri IV, Louis XIII et Louis-Philippe 1er, souhaite faire vivre aux siens une époque apaisée. Celui qui est maintenant le chef de la famille de France, c’est-à-dire celui sans l’autorisation duquel les membres de cette famille ne peuvent se marier, précise que son père s’était levé de bonne heure, ce 21 janvier dernier. Il avait prévenu qu’il ne se rendrait pas à la cérémonie religieuse célébrée à la mémoire de son cousin Louis XVI, guillotiné deux cent vingt-six ans plus tôt. Une mauvaise bronchite l’épuisait. Il avait choisi, une fois habillé, de se recoucher et, s’étant rendormi sur son lit, ne s’était plus réveillé. La femme de ménage l’avait trouvé allongé au côté de sa femme, la duchesse de France. Les pompiers n’avaient pu le ranimer.
Et Jean de France, duc de Vendôme, deuxième fils du prince défunt et dauphin, succédait à son père en devenant désormais Jean IV, nouveau comte de Paris. Déléguant à son frère Eudes et à son cousin Charles-Philippe d’Orléans l’organisation des funérailles en la chapelle royale de Dreux, nécropole des princes d’Orléans, il y accueillait, le week-end dernier, toute la parentèle et ses proches. A commencer par sa mère, la grande-duchesse Marie-Thérèse de Wurtemberg, née altesse royale, et sa soeur la princesse Blanche, handicapée de naissance. Son père, cela fit scandale, avait divorcé pour épouser l’Espagnole Micaela Cousino y Quinones de Leon, qui ne vint pas assister à l’enterrement, clouée au lit par une bronchite et les suites d’une opération de la hanche.
Toutes ses tantes, son père étant issu d’une fratrie de onze enfants, trônaient en toques de fourrure au coude à coude sur des chaises de velours rouge dans le choeur de l’église baigné d’une humidité qui glaçait les sangs. Au premier rang, se trouvaient l’impératrice Farah, la reine Sofia d’Espagne, qui est une cousine, le prince Albert II de Monaco, les souverains du Liechtenstein, le prince héritier du Maroc, le prince Emmanuel-Philibert de Savoie, les Bourbon-Siciles, les Bourbon-Parme. Le nouveau comte de Paris tint à réunir ensuite, pour une citronnade royale, parents et amis dans la demeure qui jouxte la maison de maître où il a élu domicile. La reine Sofia tomba en admiration devant le lieu, au beau milieu du parc surplombant la ville.
Le prince vit là depuis quelques années, en compagnie de la princesse Philo-mena, épousée il y a bientôt dix ans. Il a renoncé à travailler dans la finance (il était consultant à la banque Lazard) pour s’occuper des biens, avoirs, forêts et investissements de l’héritage qui est sien. Au milieu de souvenirs royaux, le prince et la princesse élèvent leurs cinq enfants, Gaston, Antoinette, Louise-Marguerite, Joseph et Jacinthe, plus préoccupés de jouer avec Léonore, l’imposante chienne terre-neuve noire, que de suivre les cours de flûte traversière voulus par leur mère et dispensés par Emmanuelle, l’organiste de la chapelle. Contrairement à son père et au prétendant dit légitimiste, Jean est fier d’être né en France et d’y avoir toujours vécu. Titulaire d’une maîtrise de philosophie sur le bien commun et d’autres maîtrises de droit et de gestion, colonel de réserve et parrain du 4e régiment de chasseurs de Gap, créé par son arrière-grand-oncle, le prince a rencontré des gilets jaunes et garde au coeur et à la raison l’idée de servir son pays. Il trouve le temps de conseiller à ses enfants de soigner les hérissons qu’ils découvrent blessés, tout en leur apprenant leur arbre généalogique qui remonte jusqu’à Saint Louis. ■
Le prince Jean d’Orléans est officiellement le nouveau comte de Paris
Je trouve que vous avez eu raison de dire que cet article est écrit « en mode Paris Match ». Cela dit, l’article est positif et il est indispensable que le grand public, aussi, connaisse le Prince.
L’histoire, rien que l’histoire, pour montrer qu’il faut un roi à la France.
Les Français n’aiment pas l’histoire. Les Français sont ingouvernables. C’est en partie vrai.
Parce que nos républicains mentent aux Français. Apprendre aux enfants que la liberté , l’égalité et la fraternité serait le résultat miracle de la prise d’une prison Parisienne, LA BASTILLE. C’est faux et liberté est antinomique d’égalité.
Venons en à l’histoire, de la France. Cinq mille ans avant J.C., venus d’Europe centrale des indo Européens se sont installés ici chez nous, ils se sont mélangés avec les autochtones. Ces cent peuples ne s’entendaient pas souvent, bien qu’ils possédaient la justice et l’ordre public commun. Certainement les bases de ce qui a servi à écrire la bible. Donc cent peuples différents qui ont préféré César l’oncle de Caïus Marius. Il ne vous a pas échappé que notre école de la république nous fait admirer un certain Vercingétorix, un des rois Gaulois, passant sous le joug des Romains. Doit on en être fier…
Ces cent peuples se sont inféodés au roi Franc, CLOVIS, au point d’en pendre le nom. Il s’en est suivi soixante rois de France. Ils ne se sont Jamais inféodés à leurs élus..
La république actuelle dépend de ces cent peuples de France., qui traduisent différemment la vie, la vie politique en fonction de nos origines régionales. Les cent peuples sont toujours en nous. Le système républicain, avec ses élus régionaux ne pourra jamais rassembler les caractères fougueux de ces cent peuples. Pour preuve, le seul qui a réussi à faire converger toute la population de France, a une période donnée, le Général de Gaulle et pour cause, sa propre histoire. Aucun autre président…
Résumons, cent peuples différents, qui s’assemblent pour César et pour Clovis,pour la fierté de l’empire et de la royauté. Ces cent peuples ne se sont jamais rassemblés pour leurs semblables. Capito…
bonjour à tous.
Merci de nous signaler cet article que nous avons lu. Il serait bien que les amis du site nous signale les autres articles qu’ils pourront trouver en lisant leurs revues préférées . Tous les articles aident à faire connaitre la famille de France et vont donc dans le bon sens
Point de Vue a aussi passé un article sur les obsèques du Prince Henri avec de belles photos des participants.
amitiés de Fracénie sous le soleil
Brigitte et Christian