par Louis-Joseph Delanglade
Si la nouvelle de sa disparition est avérée, M. Clain pourra, post mortem, remercier les Américains de l’avoir expédié au paradis d’Allah par drone interposé.
Le personnage avait déjà été condamné en 2009 à cinq ans de prison pour ses activités. Mais, Allah est grand, notre Etat de droit lui a permis de sortir dès 2012, de rejoindre l’Etat islamique et de pouvoir ainsi revendiquer en 2015 les attentats de Paris, dans une vidéo sur fond de chants religieux psalmodiés par son illuminé de frère. En revanche, la mort violente de cet islamo-terroriste patenté est (serait) quand même navrante pour tous ceux qui espéraient son prochain retour en France, un nouveau procès, une nouvelle condamnation-incarcération-libération et, cette fois peut-être, la rédemption à travers une réinsertion-réintégration réussie : on est des humanistes quand même !
L’élimination pure et simple de M. Clain est pourtant un exemple de ce qu’est la meilleure des solutions. Il suffit, pour s’en convaincre, de voir quels problèmes pose le sort des huit cents « ressortissants européens » prisonniers de la coalition en Syrie. Que faire de ces huit cents personnes ? La question embarrasse, peu ou prou, tous les pays concernés. Les Belges restent sceptiques. Leur ministre des Affaires étrangères, M. Reynders (photo), estime avec le plus grand sérieux qu’« en attendant une solution, il faut collecter des preuves » : c’est peut-être le début d’une (mauvaise) histoire belge. La France, qui promet la justice et menace de prison tous ceux qui ont rejoint le groupe terroriste, semble plutôt décidée à « rapatrier » les siens, obéissant ainsi à l’injonction de M. Trump.
Du coup, la presse française croit pouvoir souligner l’inconséquence de ce dernier qui, outre des frappes ciblées pleinement assumées, refuse le retour aux Etats-Unis de Mme Muthana (photo), vraie Yéménite mais Américaine suspecte, celle-là même qui, sous le pseudonyme d’Oum Jihad (Allah la bénisse) appelait « à faire couler le sang américain » et se félicitait des attentats de Paris. M. Trump prouve plutôt ainsi que la sécurité de son pays lui importe au premier chef et dénonce en creux l’inconsistance politique de ses détracteurs. Il est d’ailleurs, pragmatisme anglo-saxon oblige, imité par nos voisins britanniques : pour l’empêcher de revenir de Syrie, Londres veut déchoir de sa nationalité Mme Begum, (photo) d’origine bangladaise, fervente admiratrice des décapitations d’infidèles (Allah soit béni) – « pratique autorisée par l’Islam » argumente-t-elle, ce qui devrait retenir l’attention de nos partisans du droit (qu’Allah les éclaire). Certains prétendent voir une Antigone dans chacune de ces deux jeunes femmes ; il est à souhaiter qu’elles subiront son châtiment et que, pour le bien de la Cité, Créon aura le dernier mot. Dans les deux cas, malheureusement, des arguties juridiques sont brandis par les tenants de l’Etat de droit, qui obtiendront peut-être gain de cause mais démontreront ainsi que le respect aveugle du « droit » est contraire au sens commun le plus élémentaire.
Puisqu’on peut penser raisonnablement que les frappes ciblées ne suffiront pas à résoudre le problème et que le gouvernement français finira par rapatrier combattants, génitrices et progéniture, il faut exiger la plus grande rigueur.
Dans cette perspective, on salue les propos, somme toute modérés, de Mme Arnautu (photo), député(e) RN au Parlement européen de Strasbourg, ce 12 février : « Déchoyons [sic] de leur nationalité les islamistes qui ont une double nationalité et expulsons-les. Quant aux convertis de chez nous qui n’ont qu’une seule nationalité, rétablissons pour eux la peine de mort ou le bagne. Ce sont des traîtres, qu’ils soient jugés et condamnés comme tels ! » Allah est généreux et miséricordieux : il reconnaîtra les siens. ■
Super article !
Cette dame a raison il faut déchoir de la nationalité ces personnages et les expédiez hors d’occident .Nom d’un chien nous sommes gouvernés par des incapables et je suis gentil en disant cela.
Faut-il que les cerveaux de nos dirigeants soient sérieusement dérangés pour soutenir au nom du Droit, l’idée d’un retour en France d’assassins tarés, cruels et vicieux, adhérant à une idéologie politique aussi sordide que celle des nazis. Rappelons précisément que la règle de Droit établit qu’on ne peut s’en réclamer quand on l’a sciemment bafouée. De surcroit, le fait pour un Français de porter les armes contre la France est constitutif de haute trahison, et puni de la peine de mort en temps de guerre, ce qui est le cas de la France avec ses opérations extérieures actuelles contre l’islamisme. Si les sophistes vicieux au pouvoir, qui aiment, à l’instar des maitres de forges du 19ème siècle, cogner avec les moyens de la république, sur le Peuple, ne peuvent se résoudre à respecter nos Lois, qu’ils recréent un bagne à Cayenne pour y isoler cette fange de l’humanité mortifère, au risque sinon pour eux, en cas de drame, d’être complices de meurtre, par inaction.
Je ne suis pas un grand admirateur de Rousseau mais celui-ci disait une chose fort pertinente, que le droit de la guerre était de tuer son ennemi. Les djihadistes, hommes ou femmes, peu importe, sont les ennemis de notre pays, et pour eux, je ne vois qu’une seule méthode pertinente de déradicalisation, la frappe par drone. Les droitsdelhommistes ces fanatiques du culte du droit, sont prêts à mettre en péril nos concitoyens sous prétexte de respecter les droits de ces islamistes. Ces derniers par leurs actes se sont mis, comme jadis les français engagés dans le division SS Charlemagne, en dehors de la communauté nationale, ils n’ont plus aucun droit.
Superbe article et excellente réaction de Madame ARNATU. De plus avec l’Etat de droit ( des voyous) qui pairera les honoraires d’avocat, sinon , les Cons-tribuables. L’idéal serait de les expédier en enfer là bas, et non les rapatrier pour satisfaire les pleurnichards des droits de l’Homme
Entièrement d’accord sur le tribunal international et sur le fait que le jugement doit être appliqué et exécuté sur le lieu du crime.
J’ai eu l’occasion d’entendre de la part des militants kurdes, irakiens et syriens que les terroristes devaient être jugés sur place par respect pour leurs frères et soeurs tués et/ou martyrisés par ces terroristes. Quant à leurs épouses elles doivent également être jugées sur place et quand je les entends dire qu’elles sont parties en pour un projet de société où elles pouvaient vivre et élever leurs enfants selon la charia et éviter ainsi toute contamination par des valeurs et des mœurs occidentaux qu’elles rejettent viscèralement, je crois que la seule solution n’est certainement pas qu’elles reviennent vivre en Occident pour y vivre quoi … une frustration religieuse mais qu’elles soient donc jugées et qu’elles purgent leur peine sur place. A leur sortie de prison en tant que bonnes musulmanes elles pourront épouser à nouveau un musulman comme elles en ont épousé un voire deux et vivre selon la loi islamique. Si elles ont des enfants, qui ne parlent que l’arabe vu le rejet des langues occidentales et ont été élevés selon les préceptes de l’islam, ceux-ci pendant la durée de l’emprisonnement de leur mère doivent être pris en charge (genre d’adoption) par des familles ou organisations musulmanes et ils seront dès lors comme le souhaite leur mère continuer à être élevés selon la loi islamique et en arabe. A la fin de la prestation de leur peine elles pourront, en fonction du contexte du moment, éventuellement retrouver leurs enfants, reconstruire leur famille et peut-être par la suite agrandir la famille et toute la famille pourra ainsi vivre harmonieusement et heureuse en terre d’Islam. Comme ils et elles avaient, pendant la période de gloire et de conquête de DAECH, reniés leur nationalité française jusqu’à certains déchirer leur passeport … le simple fait que savoir que je pourrais un jour croiser ce genre de criminels qui me détestent m’indispose au plus haut point et que pour moi « tendre l’autre joue » ne signifie pas de ne pas me défendre mais de prendre les mesures protectrices à savoir ici : PAS DE RETOURS en terre de France.