Cela fait un an – si l’on remonte au 1er mai ultra-violent de 2018 – que Paris vit des journées de guérilla urbaine à répétition. Que des forces de l’ordre sont mobilisées en nombre considérable. Avec des moyens de lutte tout aussi considérables. Que l’on a laissé – au moins en partie à dessein – l’ultragauche corrompre et phagocyter le mouvement des Gilets jaunes, lequel, en son origine, incarnait largement la colère du peuple français presque entier. Que rien de sérieux n’est tenté contre les Black-blocs qui sont pourtant des terroristes bien plus que des manifestants. Et devraient être traités comme tels. Le Pouvoir subit, corrompt, est à la dérive. Summum du ridicule : Il se satisfait et se congratule de contenir les violences ! Jusques à quand ? Pour quelle issue ? Le pays est plongé dans cette incertitude mais dans de telles conditions la confiance ne reviendra pas. Malgré les réels talents de prestidigitateur d’Emmanuel Macron, jamais le divorce Pays Réel – Pays légal n’a été aussi profond. Aussi radical. Il est temps d’imaginer autre chose ! ■
Archives • Sur les violences du 1er mai, lire dans lafautrearousseau …
Sous le régime de l’immigration et du gauchisme accepté, l’on ne coupera pas à la violence
Si ça continue, il faudra faire Benalla maréchal de France pour avoir foncé sur la racaille gauchiste place de la Contrescarpe le 1er mai 2018. Après tout …