Par Jean de Maistre.
Humour, oui. Mais pas tant que ça… Retour sur la fête du patrimoine.
À la lecture de ce titre » bonne fête du patrimoine » je suis pris d’une violente colère !
Comment, dans une France où chaque jour apporte son lot d’avancées sociétales, où les derniers vestiges du patriarcat sont en voie de liquidation rapide, où la lutte contre le féminicide est devenue priorité, où on a donc enfin compris que les violences faites aux femmes étaient plus graves et condamnables que celles faites aux hommes, où l’écriture inclusive va être adoptée par la Journal Officiel, où sur les fiches d’état civil, il n’y a plus de père ni de mère, mais un parent I et un parent II, comment donc peut-t-on parler de » patrimoine » comme si les œuvres de la culture étaient le seul fait des hommes et comme si les femmes devaient compter pour rien ?
Indigné par ce terme, je propose donc que nos députés, après s’être plongés sur ce problème brûlant de l’interdiction de la fessée, proposent une loi qui impose que l’on parle désormais de » Journées du matrimoine et du patrimoine » …
Je plaisante bien entendu, mais bon, je suis bien persuadé que ce genre de propos doit se tenir dans les chaumières de nos progressistes ■
* Commentaire reçu hier sur JSF
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La police de la pensée et de la bien-pensance est en roues libres !! Tout est sujet à contestation, négation et repentance ! Quand une société va mal, elle l’exprime de la sorte … pauvre France, tu n’es plus que l’ombre de toi-même 🤬
les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait! …. Hélas ils n’arrêteront jamais d’oser.