Par Guilhem de Tarlé.
A l’affiche : Ad Astra : un film américain de James Gray, avec Brad Pitt (l’astronaute Roy Mc Bride).
Nous avions bien aimé The Lost city of Z (2017) du même réalisateur, inspiré de l’histoire vraie du Colonel Percy Fawcett à la recherche d’une cité perdue, dont j’avais lu qu’il avait inspiré à Hergé le personnage de Ridgewell de L’Oreille cassée.
Là encore, il s’agit d’exploration, cette fois-ci dans l’espace, et la fuite du père de l’astronaute fait penser au Capitaine Haddock qui s’échappe de la fusée…
Dans ce scénario d’anticipation, la conquête spatiale a fait « un pas de géant pour l’humanité » puisque des stations sur la lune et sur Mars servent de relais pour aller vers Saturne…
Cela aurait pu être intéressant, amusant… c’est long, c’est lent, c’est compliqué et sans intérêt quand le synopsis évoque « des révélations mettant en cause la nature même de l’existence humaine, et notre place dans l’univers » (?).
Ad Astra, ou Vers les étoiles… Mon épouse était attirée par l’étoile Brad Pitt… Elle a, autant que moi, été déçue. ■
PS : vous pouvez retrouver ce « commentaire » et plusieurs dizaines d’autres sur mon blog Je ciné