À la suite des obsèques d’Henryane de Chaponay, le blog La Couronne a publié l’article ci-après [31 octobre].
Le lundi 28 octobre 2019, Madame la Comtesse de Paris a assisté aux obsèques d’Henryane de Chaponay dont la grandeur d’âme n’avait d’égale que sa générosité envers les autres. Madame Henryane de Chaponay (1924-2019), était la fille du marquis de Chaponay (1893-1956) et de la princesse Geneviève d’Orléans (1901-1983).
La messe fut célébrée par le père Christian Delorme en l’église Saint Merry à Paris, où fut célébrée en 1983, une messe en mémoire de la mère de la défunte, la princesse Geneviève d’Orleans décédée et inhumée au Brésil.
Était également présents aux côtés de Madame la Comtesse de Paris, le prince Adrian de Bourbon-Siciles, le prince et la princesse Grégory de Bourbon-Siciles, tous deux petit-fils de la princesse Marie-Louise d’Orléans (1896-1973), la sœur de la princesse Geneviève, marquise de Chaponay, la princesse Maria-Pia d’Italie, la princesse Chantal de France et son époux le baron François-Xavier de Sambucy de Sorgue.
A la fin de la messe, toute l’assistance a suivi la Comtesse de Paris qui a déposé un lumignon devant le portrait d’Henryane, dont les cendres seront inhumées dans le tombeau de ses grands-parents le duc et la duchesse de Vendôme en la chapelle Royale Saint-Louis de Dreux. ■
Photos @David Niviere publiées sur la page Facebook de Mgr le Comte de Paris.
C’est bien « people » tout ça… Laissons ça à « Points de vue » ou à « Gala »… Et en plus Saint Merri est la paroisse la plus progressiste de Paris…
Bonjour, c’est sans doute touchant pour les proches et intéressés, mais, vraiment, cela n’apporte rien de constructif !
C’est même le contraire : une bonne occasion pour les opposants de dénigrer le vrai bon sens de la Royauté par la mise en avant d’apparences généralement peu appréciées par le lamda, et dont certaines devraient d’ailleurs rester strictement privées…
Nous sommes d’accord qu’il convient de revenir sans cesse – mais nous le faisons continuellement – sur ce que vous appelez à juste raison « le vrai bon sens de la Royauté ». Celui-ci inclut, toutefois, le principe dynastique ou si vous préférez, familial. Même si ce dernier est battu en brèche par la société contemporaine, suivant les principes et la pratique révolutionnaires. A l’inverse, nous maintenons un lien fort avec les actuels descendants de nos rois et leur famille. Pour nous, le principe monarchique n’est pas une idée abstraite ou idéologie. Il n’a de sens qu’incarné dans un Prince entouré de sa famille.
Quant au citoyen lambda, il raffole des monarchies étrangères faute de la nôtre et la presse people est à grand tirage. Nous ne situons pas dans ce champ là, mais cet engouement que, peut-être vous sous-estimez, doit bien répondre à quelque besoin. Il pourrait être transmué un jour en attachement vrai à notre dynastie nationale, ce qui le changerait du mépris assez général qu’il nourrit envers les éphémères présidents passant à l’Elysée.
Voilà quelques réflexions écrites à la hâte et dont, bien-sûr, on peut débattre.
A Pierre Builly
Pas d’accord : quand il s’agit de la Famille de France, de notre intérêt et même de notre affection pour cette dernière, de notre attachement à ce qu’elle incarne (de suprême dans notre destin, dixit de Gaulle) on est à l’opposé du people. Ne confondons pas les serviettes et les torchons ! JSF devrait en faire plus sur les Princes. J’attends.
Cette Henriette de Chaponay était une dame de grande vertu, mais une progressiste et immigrationniste en diable, liée à tous les groupes sectaires qui veulent abolir les frontières et transformer la France en une banlieue métissée et cosmopolite. Je dirai donc comme François Mauriac à propos de Pie X que, même apparentée à la famille royale, cette sainte « n’est pas de ma paroisse »! Si elle va au paradis j’espère ne pas être son voisin. Si le paradis est peuplé de gens comme elle, je préfère le purgatoire.
Je ne disconviens pas qu’il est nécessaire que – quoi que j’aie pu écrire là-dessus jadis et naguère – la place du Comte de Paris et de sa famille est tout à fait à sa place dans ces pages. Mais cette dame inconnue fait partie d’une très nombreuse parentèle qu’il serait peu performant de faire trop souvent figurer ici…
D’accord avec Pierre Builly
Chers amis Antiquus et Michel, nous nous rejoignons, ce qui ne m’étonne en rien. Les tares des familles ne peuvent être imputées au légitime héritier, mais on peut ne pas les exhiber au grand jour.
Bon vent, Henryane et ne t’avise pas de t’asseoir à mes côtés au Paradis (si tu y es) : je retrouverai vite mon cornouiller et mes rangers.
En d’autres termes, va te faire voir (et foutre) ailleurs.