Les Anglais ont eu leur tueur soudanais, dont les médias eurent le toupet de rapporter qu’il était anglais, comme s’il eût été possible qu’un Soudanais fût anglais. Nous avons eu nos Soudanais, nous aussi, par exemple à Romans, dont un meurtrier sur trois, avec statut de réfugiés. Drôles de réfugiés, n’est-ce pas ? que ceux que la France accueille !
Un fait divers vient de se produire à Marseille, dans le quartier rénové de la Joliette : un Nigérian, cette fois-ci, pendant de longues heures, a séquestré son ex-compagne, l’a blessée au couteau, a violé l’amie de cette dernière et a fini par s’enfuir. Le présumé coupable (sic), connu des services de police, mais bien-entendu non expulsé vers son pays d’origine, est activement recherché, nous dit-on. Comme si Police et juges n’avaient pas autre chose à faire par les temps qui courent. Et recherché pour en faire quoi ? Cela on ne nous le dira pas. De peur de soulever l’indignation des gens normaux et de troubler le vivre-ensemble.
On nous dira que tous les réfugiés, Soudanais, Nigérians, Maliens ou Béninois ne sont pas des terroristes ou des tueurs. Qu’il y a des Français de souche qui le sont. Cette chanson-là on nous la chante plus souvent qu’à son tour. Elle dit vrai. Mais et alors ? Nos compatriotes criminels, nous devons bien nous en charger. En importer d’autres ? Les garder chez nous lorsqu’ils tuent ? Ni l’un ni l’autre, assurément.
Cela fait suffisamment, de raisons pour laisser les frontières fermées quand on en aura fini avec la crise du coronavirus, n’est-ce pas ? ■
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Entièrement d accord nous ne pouvons accepter toutes les brebis galeuses sur notre territoire il me semble me rappeler qu’un homme politique avait parler « d’immigration choisie et non subie »!
C’est vrai et c’est connu, l’universalisme de la gauche est souvent mis en cause dans ce refus des frontières, et donc de leur contrôle, et donc des expulsions. Il y a aussi l’incroyable outrecuidance de ceux qu’on appelle français aujourd’hui, pour qui le nec plus ultra est droit au blasphème, droit sacré a l’avortement, droit de l’enfant d’être séparé du parent qui voudrait le corriger, droit au divorce, droit à mettre « ses » vieux dans un mouroir, droit de voter tout le temps, pour n’importe quoi et surtout pour ce qui n’a pas d’effet, droit à l’homosexualité, droit de changer de sexe, etc. Que des peuples du tiers monde nous méprisent pour révérer de tels droits imprescriptibles, on le comprend, que les jours de nos sociétés pourries soient comptés, on se prend à l’espérer.
Ce qui est fascinant c’est le traitement juridique, politique et médiatique de ce genre d’affaires en France et plus généralement en Europe. On se souvient avec quelle mine gourmande le porte-parole du gouvernement parlait de l’attentat terroriste de Strasbourg commis par un immigré d’origine algérienne, commis donc, selon Griveaux par un » français né en France » alors que le tueur était le fils d’un immigré n’ayant jamais appris à parler le français et portant la barbe teinte au henné des djihadistes. On n’oubliera pas non plus le silence assourdissant de la presse allemande à la suite du millier d’agressions de la nuit de la Saint Sylvestre 2015 à Cologne, commis par des migrants. Et que dire de l’acquittement par la cours d’assises de la Manche de ce violeur bangladais, sous prétexte qu’il ne »maîtrisait pas nos codes culturels ». Comme si l’interdiction du viol était un simple code culturel, comme la poignée de main ou l’habitude du barbecue chez les petits-bourgeois. On peut également se souvenir des vagues de viols commis sur des jeunes filles blanches par des gangs pakistanais en Angleterre, la police refusant d’ouvrir des enquêtes, puis, devant ce scandale dénoncé par la député conservatrice Lucy Allan de Telford, la justice interdisant à la presse de faire mention de ces faits, et condamnant à une peine de prison de 13 mois un militant politique anglais ayant osé parler de ces violeurs sur les réseaux sociaux. Comme le dit un article de la revue Marianne » les sévices commis par les gangs ont longtemps été « couverts » par une série d’acteurs trop inquiets de « stigmatiser » la communauté pakistanaise… au risque de mettre en danger les victimes, dans un pays profondément acquis au multiculturalisme et à l’obsessionnelle volonté de ne pas « blesser » telle ou telle communauté. » Soyons en sûrs, la France prend le chemin de l’Angleterre puisque l’on entend maintenant chez nous des féministes gauchistes suggérer, à la suite des vagues de harcèlements du quartier de la Chapelle à Paris , d’élargir les trottoirs, sans doute pour que les femmes puissent raser les murs et éviter de croiser de trop près ces merveilleux migrants à la rechercher de chair fraîche. Les mêmes féministes gauchistes ayant en Allemagne suggéré aux femmes d’être » plus tolérantes à l’égard des migrants ». Dans nos merveilleux pays acquis à l’idéologie étouffante du vivre-ensemble, être immigré ou migrant est une excuse à tout. Violez, assassinez et pourvu que vous soyez migrant ou immigré, vous trouverez des défenseurs dans les médias du politiquement correct et chez certains politiques, ou du moins des gens qui estimeront que vous avez quantité d’excuses. Nous avons dans notre pays des délinquants et criminels bien de chez nous et en nombre suffisant et il n’est nul besoin d’en importer d’autres.
Tout est lié
Imaginez la Pologne dans les années 80 avec 10% d’immigrés allogènes sur son sol, aurait-elle pu retrouver son indépendance?
Sur Calais, 3 migrants ( de véritables clan destins) ont volé un moteur de bateaux, interpellés par la Police, ils ont toussé lors de leur garde à vue, et craignant la contagion , ils ont été remis en liberté ( Nord Littoral du 9/04/20)
moi si je fais la même chose en vertu de la maxime: Tous pour Moi, Moi je tousse pour tout le monde,j’écope de l’amende.
Je vous souhaite à tous de très joyeuses et lumineuses fêtes pascales. Que la résurrection de Notre Seigneur Jésus-Christ soit aussi notre espérance à celle de notre pays LA FRANCE.
Très fraternellement.