Ce sont, évidemment de très graves événements qui se déroulent tous ces jours aux États-Unis, nation structurellement et historiquement affectée de violence raciale endémique. Mais notre souci est bien plutôt celle qui a fait irruption dans notre histoire récente à raison de la politique migratoire de la République et au-delà de tout ce que l’on nomme à juste titre le Système.
Notre souci n’est pas d’abord outre-atlantique mais sur les bords de la Seine, à Paris et dans nos métropoles. Nous n’avons guère de goût pour ces grandes contagions médiatiques qui entendent prolonger jusqu’à nous dans des élans émotionnels universalistes suspects ce qui se passe à Washington ou dans le Kentucky et ce qui advient à Paris où, bon gré mal gré, bât le cœur de la France depuis quinze siècles ! Le monde entier nous intéresse à des titres divers, mais ce genre de parallélisme, cet humanitarisme-là, nous le refusons non sans dégoût.
Ce qui s’est passé à Paris, mardi 2 juin, a été abondamment commenté. Nous n’y reviendrons pas : il y a, pour ça, des chaînes d’information en continu qui nous en saturent.
Tenons-nous donc à l’essentiel que nous avons tenté de résumer ainsi, mardi dernier, justement (Et que l’on veuille bien nous excuser de nous citer) :
« Comme il faut avoir une ligne politique et que Je Suis Français s’y essaie, nous redirons simplement ceci : Les sociétés multiraciales et multiculturelles sont intrinsèquement porteuses et génératrices de haine et de violence structurelles, systémiques, inéluctables. On peut s’en lamenter, on ne peut l’éviter.
Pour ce qui est de la France, nous étions un peuple homogène soustrait au moins à la violence raciale qui est consubstantielle à d’autres nations, par exemple aux Etats-Unis.
Or, nous sommes en train de créer une société multiraciale et multiculturelle, nous n’éviterons pas, si nous persistons dans cette voie, les violences endémiques qui en découlent. On aura beau nier l’existence des races et exclure le substantif qui s’y rapporte, comme on nie les nations, les cultures, la différenciation sexuelle native, et toute forme d’héritage des siècles, on n’échappera pas aux conséquences. Les Etats-Unis nous en offrent le spectacle.
Ce qui s’y passe n’est ni la première, ni, assurément, la dernière fois. Sachons au moins en tirer les conséquences pour ce qui est de la France. »
Il nous semble que là est l’essentiel de ce que nous devons avoir de présent à l’esprit.
[Image précédente : Contre toute l’Histoire, L’Obs ne nous fera pas croire que la République c’est la paix !]
© JSF – Peut être repris à condition de citer la source
Je crains qu’il ne soit déjà trop tard .Le processus d invasion de masse est en cours et malheureusement
Rien ne laisse penser que cela va changer
à part supprimer les aides sociales à TOUS CEUX QUI NE PEUVENT ATTESTER ETRE FRANCAIS DEPUIS TROIS GENERATIONS, les autres n’ont rien apporté à LA FRANCE, ne connaissent pas son HISTOIRE…..
il est vrai que pour ne pas froisser les derniers arrivants on a supprimé bien des chapitres…..
à part l’ARMEE D AFRIQUE BIEN ENTENDU