Les gauchistes antiracistes veulent déboulonner la statue du général Faidherbe à Lille. Il faudrait d’abord demander l’avis des Sénégalais : il y a une avenue Faidherbe à Dakar…
5 commentaires pour “Les gauchistes antiracistes veulent déboulonner la statue du général Faidherbe à Lille. Il faudrait d’abord demander l’avis des Sénégalais : il y a une avenue Faidherbe à Dakar…”
De François de Salignac de la Mothe Fénélon précepteur des enfants de France, archevêque de Cambrais à écrit ceci:
» les connaissances bien raisonnées construisent l’esprit. »
Nous pouvons en déduire qu’une partie de la France n’a pas d’intelligence.
C’est grand dommage.
Bravo !
Comme en France toutes les statues sont celles de blancs, donc racistes, colonialistes, comme toutes les rues, places, avenues portent les noms des mêmes, je propose de supprimer toutes les statues et de rebaptiser places rues et avenues, ruelles et impasses par des noms plus respectueux de la diversité. Ainsi pourrions nous avoir une rue Taubira, une place Houria Bouteldja, une avenue Obono, une impasse des Indigènes de la République, une avenue Mohammed Mehra, une rue Franz Fanon, une place des Balck Panthers etc. Dijon mériterait bien une rue Shamir Bashaiev pour rendre hommage à la participation des Tchétchènes à la vie locale. Avez vous également remarqué l’absence scandaleuse dans notre littérature de personnages issus de la même diversité ? Aucun africain dans la comédie humaine, aucun maghrébin dans la recherche du temps perdu, aucun tchétchène dans la chartreuse de Parme ! Ce qui montre que cette littérature, fermée à la diversité, raciste, sans le moindre mot de repentance devrait être ou retirée des bibliothèques publiques et des librairies (en attendant l’épuration des bibliothèques privées) ou alors réécrite pour la rendre plus conforme aux normes contemporaines du vivre ensemble. La modernité a encore du pain sur la planche.
Que cache ces vociférations peu contrariées par nos gestionnaires.
La recherche sournoise par ceux qui imposent la fin de la France, essayant de passer de la lutte sociale « le gilets jaunes, »dite verticale à la lutte des races, dite horizontale, qui conduit tout droit au totalitarisme. Objectif politique qui permet à Bruxelles de gérer les Français. C’est la politique contraire du Général…
La France s’est construite depuis nos ancêtres Celtes , puis par les soixante rois Francs, puis par la république. Elle a au cours de son histoire établi des comptoirs commerciaux, sous forme de contrats politique et militaires. Le Maroc et la Tunisie, l’Algérie , l’Afrique équatoriale et l’Indochine. C’est l’histoire. C’est aussi notre histoire, on aime certains passages on en déteste d’autres, mais l’histoire ne s’efface pas, ne se refait pas, ou alors nous sommes dans ce que voudraient nos actuels républicains qui nous gouvernent, que nous disparaissions.
Quant on détruit une statue on détruit la France. On peut ne pas aimer la femme ou l’homme, mais le fait d’avoir son effigie, son nom dans une rue ou une place, permet de connaitre ce qu’il a fait. Elle sert à apprendre mais sans juger…pour ce construire.
Ce n’est pas une question de blanc ou de noir, de vert ou de jaune, c’est le drapeau noir qui est brandit, celui du totalitarisme porté par les migrants que nous ont été imposés par Bruxelles, instance qui ne dit mot, trop heureuse d’aider à détruire la France et les Français.
Il y a une statue de Faidherbe à Saint-Louis du Sénégal
De François de Salignac de la Mothe Fénélon précepteur des enfants de France, archevêque de Cambrais à écrit ceci:
» les connaissances bien raisonnées construisent l’esprit. »
Nous pouvons en déduire qu’une partie de la France n’a pas d’intelligence.
C’est grand dommage.
Bravo !
Comme en France toutes les statues sont celles de blancs, donc racistes, colonialistes, comme toutes les rues, places, avenues portent les noms des mêmes, je propose de supprimer toutes les statues et de rebaptiser places rues et avenues, ruelles et impasses par des noms plus respectueux de la diversité. Ainsi pourrions nous avoir une rue Taubira, une place Houria Bouteldja, une avenue Obono, une impasse des Indigènes de la République, une avenue Mohammed Mehra, une rue Franz Fanon, une place des Balck Panthers etc. Dijon mériterait bien une rue Shamir Bashaiev pour rendre hommage à la participation des Tchétchènes à la vie locale. Avez vous également remarqué l’absence scandaleuse dans notre littérature de personnages issus de la même diversité ? Aucun africain dans la comédie humaine, aucun maghrébin dans la recherche du temps perdu, aucun tchétchène dans la chartreuse de Parme ! Ce qui montre que cette littérature, fermée à la diversité, raciste, sans le moindre mot de repentance devrait être ou retirée des bibliothèques publiques et des librairies (en attendant l’épuration des bibliothèques privées) ou alors réécrite pour la rendre plus conforme aux normes contemporaines du vivre ensemble. La modernité a encore du pain sur la planche.
Que cache ces vociférations peu contrariées par nos gestionnaires.
La recherche sournoise par ceux qui imposent la fin de la France, essayant de passer de la lutte sociale « le gilets jaunes, »dite verticale à la lutte des races, dite horizontale, qui conduit tout droit au totalitarisme. Objectif politique qui permet à Bruxelles de gérer les Français. C’est la politique contraire du Général…
La France s’est construite depuis nos ancêtres Celtes , puis par les soixante rois Francs, puis par la république. Elle a au cours de son histoire établi des comptoirs commerciaux, sous forme de contrats politique et militaires. Le Maroc et la Tunisie, l’Algérie , l’Afrique équatoriale et l’Indochine. C’est l’histoire. C’est aussi notre histoire, on aime certains passages on en déteste d’autres, mais l’histoire ne s’efface pas, ne se refait pas, ou alors nous sommes dans ce que voudraient nos actuels républicains qui nous gouvernent, que nous disparaissions.
Quant on détruit une statue on détruit la France. On peut ne pas aimer la femme ou l’homme, mais le fait d’avoir son effigie, son nom dans une rue ou une place, permet de connaitre ce qu’il a fait. Elle sert à apprendre mais sans juger…pour ce construire.
Ce n’est pas une question de blanc ou de noir, de vert ou de jaune, c’est le drapeau noir qui est brandit, celui du totalitarisme porté par les migrants que nous ont été imposés par Bruxelles, instance qui ne dit mot, trop heureuse d’aider à détruire la France et les Français.
Il y a une statue de Faidherbe à Saint-Louis du Sénégal