Le vent tourne dans l’opinion populaire française. A droite comme à gauche. Et ce n’est pas nous qui nous en tiendrons à l’écart. Qui plus est, il ne s’agit pas là d’un de ces courants de surface qui parcourent les masses, comme l’écume des choses. Mais d’une réaction de survie d’un peuple qui se sent menacé. L’un de ces cas, où le suffrage de tous est comme infaillible.
– Ce n’est pas politiquement correct de constater que cet « ensauvagement » de la société française a un rapport évident avec les dernières générations de jeunes Français issus de l’immigration maghrébine et subsaharienne ?
– Ce n’est pas politiquement correct de dénoncer la responsabilité de la gauche, qui a préféré «intégrer» plutôt qu’assimiler, par idéologie sémantique ?
– Ce n’est pas politiquement correct de constater la passivité des forces de l’ordre, qui assistent à ces exactions sans oser riposter, terrorisées à la perspective d’être accusées de racisme et d’islamophobie par les lobbies communautaristes, racialistes et indigénistes qui ont infiltré les médias ?
– Ce n’est pas politiquement correct de dénoncer le laxisme bienveillant du pouvoir macroniste pour toute cette racaille et l’incapacité d’Emmanuel Macron à sortir de l’ambiguïté de ses discours verbeux ?
– Ce n’est pas politiquement correct d’être lucide, objectif et courageux ?