Les « Bruits de couloir » dont il est question ici ont été publiés hier, dimanche 7, par le très à gauche quotidien régional La Provence.
Que signifient-ils ? Que grâce aux efforts, aux analyses, aux publications et aux campagnes médiatiques à succès d’un ensemble impressionnant d’intellectuels français qui ont su briser les plafonds de verre érigés par la gauche, cette dernière, si elle est loin d’avoir partie perdue, n’a plus le monopole de l’expression culturelle et que l’on ose désormais s’y opposer.
Témoins : la proposition du maire de Cannes – l’homme qui monte, suivez-le – d’accueillir ce même Franck Ferrand que la municipalité de Marseille vient de censurer. Et encore : la réaction de la présidente de région, Martine Vassal, qui va dans le même sens.
La dissidence n’est plus à gauche, il faut le savoir. Même avec encore d’immenses moyens, elle est désormais sur la défensive. Et ce n’est pas la position la plus confortable.
J’aimerais que, même avec guillemets, on ne parle pas de Présidente de Région, mais de « Président (présidentE, si l’on veut, l’Académie a cédé) de Conseil régional ».
Dieu merci, la France n’est pas un État fédéral et ces élus n’ont de mission que dans lke cadre de ce qui leur a été concédé par l’État pour (paraît-il) davantage d’efficacité.
De la même façon il n’y a pas de « président de département » mais un Président de conseil départemental.
Bonjour à tous,
Quand les crapules d’extrême gauche (les coco marseillais et Coppola – le sans-cul-ture, en tête) essaient de réécrire l’histoire et s’en prennent avant tout, aux marseillais et les privent de leur histoire !!!
La vengeance politique avant tout!!!
Bande de revanchards sans aucune envergure politique ! Honte à vous !