« Comme dans la vieille semaine, demandant toujours que l’on tue.» L’épisode Sarko nous rappelle ces deux vers de Brasillach, écrits en des circonstances autrement tragiques qui conduisaient à la vraie mort. Et aussi la devise des socialos du congrès de Valence : « Il faut que des têtes tombent », réminiscence du rasoir national. Ce régime – et ses juges totalitaires ! – se souvient toujours de ses enfances, de ses principes, de ses commencements. Redde mea principa ! Sans autre commentaire.
La phrase de Paul quilès au Congrès socialiste de Valence en 1981 est : « Il ne suffit pas de dire que des têtes vont tomber mais il faut dire lesquelles et rapidement » (de mémoire cette ode qui sent bon le robespétrophile).
Cela lui vaudra le doux surnom de Robespaul octroyé par des députés facétieux qui étaient encore de Droite.
Il est amusant de noter que deux ans plus tard quilès fera campagne comme candidat à la mairie de Paris contre chirac avec pour slogan inespéré « Quilès, tendresse » !