Un billet de Marc VERGIER.
Reçu dans les commentaires (3.06).
Outre leur bêtise, leurs provocations, leurs symboles, il convient de poser et reposer les questions : pour qui roulent vraiment les écolos ?
Que cache leur verte-flamme ?
On pense aux fameuses pastèques, peau verte, chair rouge pour les campagnes électorales ; combinaisons d’appeaux et d’appelants comme on en connaît sur le thème du racisme.
N’y a-t-il pas d’autres intérêts ?
La question de éoliennes revient heureusement dans l’actualité grâce à M. Bern.
J’ai, pour ma part, tenté d’exposer les ombres derrière les « nouvelles mobilités », en particulier le mépris quasi-institutionnalisé (malgré la loi, le nombre , la logique, la nécessité vitale, l’écologie elle-même !) pour le piéton et le trottoir.
Sur ces sujets et d’autres, les impasses criantes, les omissions obstinées, la censure aveugle semblent bien encouragées, imposées par des forces plus dorées que rouges ou vertes. ■
Merci pour l’attention prêtée à ce modeste commentaire. Je renvoie vos lecteurs à mon papier d’octobre 2020 sur le sujet :
https://www.jesuisfrancais.blog/2020/10/10/societe-lettre-ouverte-a-elisabeth-levy-les-ecolos-naiment-pas-le-populo/