Nous lisons sur le blog de L’Action Française ces brèves réflexions rapidement publiées hier, 9 juin, après la gifle donnée la veille à Emmanuel Macron en campagne à Tain-L’Hermitage, dans la Drôme. On sait comment dès que le fait a été connu, les médias mainstream ont immédiatement, sans enquête ni preuve aucunes, mis les royalistes d’Action Française en accusation. C »est pourquoi, nous croyons utile de publier ce texte qui remet ce fait divers dans son contexte politique, sans exclure d’autres réactions à venir.
Hier, le président de la République a été giflé à Tain. Emmanuel Macron avait décidé d’aller à la rencontre des Français, rééditant le Grand Débat, cette tournée qui lui avait permis de parler sans écouter.
Mais les Français ne veulent pas rencontrer Emmanuel Macron : ils veulent qu’il les écoute, sans leur expliquer en permanence qu’ils n’ont rien compris.
Les Français veulent une France forte, capable d’assurer leur sécurité, aujourd’hui et demain. Une France qui leur assurera un vrai travail, avec des revenus décents, une école qui assurera un véritable enseignement. Pas une France qui recule sans cesse dans les classements pédagogiques, une France sans cesse déclassée économiquement, une France sans souveraineté, sans avenir, sans sécurité. Cette France que n’incarne pas la start-up nation qui éborgne et arrache les mains des citoyens.
Hier, un Français a giflé le président de la République, considérant sans doute que cela couronnait quatre ans de pouvoir méprisant, aveugle et sourd aux véritables attentes des Français. Le geste n’est pas glorieux. Disons qu’il s’inscrit dans la ligne de celui qui a jugé bon de faire le pitre avec McFly et Carlito et de recevoir à l’Élysée Ultra Vomit après DJ Kiddy Smile.
Castex appelle à un sursaut républicain. Le véritable sursaut ne serait-il pas qu’enfin Emmanuel Macron et son gouvernement cessent leur campagne électorale permanente et s’attaquent aux maux qui ravagent la France ? ■
Les républicains guillotinent leurs adversaires ; les royalistes se contentent de les souffleter, de les fesser ou de les entarter….
Mais le cinglé de Tain n’est pas royaliste ! C’est un agité ridicule et nuisible qui doit n’avoir qu’un poius chiche dans le cerveau…
Tout celà est monté pour faire passer les Royalistes pour extrémistes et violents.
Il vont avoir l’excuse d’em… béter les Royalistes. Jean Castex appelle d’ailleurs à un sursaut républicain.
Il faut s’attendre à des rétorsions…
Dans « nos familles », on a voté Fillon, puis Macron, comme s’il y avait là une cohérence. En fait il y avait seulement deux raisons à ce vire-voltage incroyable, l’une : TSMLP, tout le monde a compris, trop vulgaire trop venue de rien, trop peuple et en plus trop mauvaise en économie, pas faux. Et l’autre, trop beau pour être vrai, en finir enfin avec l’ISF qui nous ruinait depuis 1981, pas faux non plus.
Quand je rappelle les épisodes sinistres de la saga : fête de la musique, délinquants antillais, affaire Benalla, interview à Brut et, enfin entretien inepte à l’Elysée avec deux zozos, suivi de roulades d’ados boutonneux sur la pelouse et d’un distingué « putain, ils sont là » en direction d’un groupe de musique métal, dont on imagine qu’il s’est installé tout à fait incognito au fond du jardin, après avoir déposé le matos devant les cars des CRS abusés, eh bien que font mes bons bourgeois énamourés, ils me traitent d’extrémiste, de droite forcément. Et pourtant, comme on ne touche pas à la femme de César, je passe sous silence le service reloocking d’une certaine dame au passé sulfureux.
Et malgré tout que croyez vous qu’il adviendra? Par un coup de billard à trois bandes pour lequel il usera de tous les « pouvoirs qui lui sont conférés », comme il utilise nos deniers pour la campagne de son pseudo parti, et en prévision de la sienne propre, il se retrouvera en face de MLP, CQFD.
Le pauvre homme pas très futé qui lui a envoyée la beigne de sa vie sera, lui, la seule victime de cette affaire lamentable; c’est presque amusant de voir les républicains de tous poils crier au régicide, petits enfants gâtés, le vrai régicide menait à l’écartèlement et le Roi était mort, c’était autrement violent.
~ Un grand bravo ! au Royaliste « Damien TAREL »,
ce guerrier Franc de la sensée gifle du président ;
* Rappel historique sur ce cri de guerre ancien -_ Montjoie Saint-Denis _-,
qui est apparu entre le: XI & le: XII siècle sous la dynastie Capétienne,
relative à la bataille de Bouvines sous le règne du Roi » Philippe II Auguste « ;
§ Message d’un: « Royaliste-Lozérien ».
Que Tarel dans sa conscience intime soit royaliste ou non, cela nous importe peu. L’important est que l’opinion médiatique l’a reçu comme telle. Il a suffi d’un « Montjoie Saint Denis » pour que les royalisme replace le fascisme dans les fantasmes médiatiques.
Cela ne présente pas que des inconvénients. Nos amis de la NAR s’ingénient à présenter un royalisme qui n’effraie pas belle-maman; mais il serait avantageux que tous les opposants au système soient assimilés au royalisme, beaucoup le deviendraient pour ramasser le défi comme les Hollandais se proclamaient « les gueux ». Une problématique « république ou monarchie » nous arrangerait mieux que la problématique « droite ou gauche »…
Toujours intéressant Michel Michel.