Marc Vergier a trouvé « une toute petite chose » sur la toile. Plus précisément sur le MailOnline britannique du 10 juin. Et la petite chose vaut son pesant d’or.
« On pourrait croire à une plaisanterie de 1er avril – nous dit Marc Vergier – et je ne garantis pas le contraire. Quoiqu’il en soit, ça donne une idée de l’air du temps et devrait faire sourire les lecteurs de JSF. Etant peu familier du jargon de la psychanalyse, la traduction que je propose est fidèle mais rapide et quelque peu approximative. »
Résumé (« abstract ») de l’article de Donald Moss publié le 27 mai 2021 par le Journal of the American Psychoanalytic Association.
Daniel Moss enseigne au New York Psychoanalytic Institute et au San Francisco Center for Psychoanalysis,
« Atteint de blanchitude
La blanchitude est un dérèglement qu’on attrape et qu’on garde en soi.
C’est comme une parasitose maligne à quoi les « blancs » sont particulièrement exposés. Ce dérèglement est constitutif, c’est à dire qu’il produit des effets définitifs sur la relation à son propre corps, son propre esprit et sa vision du monde. l’individu atteint de cette blanchitude parasitaire voit ses appétits (pulsions?) devenir voraces, insatiables et perverss. Ces appétits altérés visent particulièrement les personnes non-blanches. Une fois en place, ces appétits sont presque impossibles à éliminer . Le traitement consiste à combiner les interventions de type psychique et de type socio-historique. On n’en peut raisonnablement attendre qu’une atténuation des appétits pervers de la blanchitude, réduisant leur intensité, les réorientant vers d’autres objets, y compris , dans quelques cas, vers un travail de réparation. Pour le sujet traité, la remémoration et la prise de conscience des dégâts infligés par la blanchitude chronique peuvent se manifester comme une alarme (« plus jamais ça ») ou comme la tentation d’une rechute (« retrouver la supériorité »). »
Le lecteur appréciera. C’est l’air du temps ? Malheur à nous s’il souffle trop longtemps !
Merci à Marc Vergier
Au yeux de ces fanatiques on se dit qu’il doit y avoir une solution (finale) : rouvrir les camps d’extermination où parquer tous les blancs en organisant leur éradication définitive. Dans certaines universités anglaises on organise des stages dans lesquels on appelle les étudiants à prendre conscience de la honte qu’il y a à être blanc. Au vu de la vitesse à laquelle se propage cette funeste idéologie raciale et raciste (du moins dans certains milieux qui ne représentent que la minorité d’une minorité) on se dit que nous nous réservons de beaux jours.
E t pourquoi pas, le summum du crétinisme, la méthode absolue visant à éduquer les peuples BLANCS, juste avant une chute de neige, horreur BLANCHE, envoyer de la poussière de charbon dans ladite neige, afin de la remettre » dans le bon chemin » , ce ne serait pas plus débile que de mettre un genou à terre et demander pardon pour des fautes NON COMMISES
Êtes-vous certain que ce n’est pas un gag ?
Je lis fréquemment la presse américaine en ligne en particulier le New-York Times, torchon de référence du politiquement correct et je peux vous assurer que ce genre de propos y abondent. Ils se tiennent de plus en plus également dans les universités, y compris dans les plus prestigieuses, appartenant à l’Ivy League. Nous assistons à un vent de folie qui est en train de gagner l’Europe. Il n’y a qu’à écouter les propos du pro-islamiste Mélenchon se féliciter de ce que la France sera en 2050 complètement métissée. Les obsessions raciales de l’extrême-gauche ont de l’avenir, hélas.