C’est vrai que cette histoire n’est pas très convenable. Ou pas du tout. Il se trouvera donc bien quelques lecteurs pour nous reprocher de la diffuser, nous dire qu’elle n’est pas au niveau de Je Suis Français. Elle est pourtant de celles que les Français ont l’habitude (la faiblesse ?) de se raconter dans les repas et les soirées arrosées et qui au moins les font rire ensemble quelques instants. Nous parlons des Somewhere, les enracinés. Ceux de quelque part. Les Anywhere (que l’on nous pardonne ce jargonnage d’aujourd’hui) ont sans-doute des perversions plus subtiles. Voir la Familia grande et ses membres assez dégoûtants… Avouons que nous préférons la grivoiserie de Lassalle.
Quoiqu’il en soit, nous sommes en été, au cœur des singulières vacances que nous ménage le variant Delta et ce récit populaire et salace nous a amusés un instant.
Le lecteur appréciera, trouvera cela vulgaire ou bêta, ou les deux. Ou bien en sourira, en rira, comme nous. .
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Les vieilles gauchistes sont devenues des pisse-froid car les raisins sont maintenant trop verts, et les Yankees sont arrivés à la rescousse. Bref l’ambiance est très peine à jouir. Aussi faut il saluer ce député rabelaisien dans la veine d’un Léon Daudet.
Ce sont certes, des histoires à ne pas raconter un jour de communion solennelle, mais ce sont les histoires de la France profonde, la vraie celles des gens simples qui ont Lecoeur qui bat pour leur pays.
Bien d’accord. Il a du talent ce bougre de Lassalle.