Et nous, nous n’en dirons pas davantage laissant au lecteur le soin de réfléchir, de juger, d’analyser, de rejeter ou de prendre part aux combats de ceux qui – comme nous l’écrivait Thierry Maulnier, il y a quelques décennies – « persistent à aimer la France et à ne pas désespérer ‘elle. »
Sachons au moins constater que nous ne sommes pas seuls à partager ce sentiment sauveur.