Le bon sens, le franc-parler, la logique, la gouaille d’ d’Elisabeth Lévy … C’est à écouter tout simplement. Sans autre commentaire. Lire aussi l’article précédent de Marie-Hélène Verdier. Je Suis Français
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A lire dans JSF : Le clivage du « nouveau monde » par Rémi Hugues.
Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions
Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.
Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !
L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.
Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.
Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.
Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.
La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.
Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.
Et aussi…
Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.
Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.
Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net
* Frais de port inclus
Pour ceux qui ont la mémoire courte et s’étonnent de l’accueil que Marseille fait à Zemmour : Voila Marseille en1947-1948 ! Les Gaullistes se battaient contre les Communistes et il y avait des morts ! A l’époque, le « fachiste » De Gaulle et ses partisans ( souvent des Corses) luttaient contre les « séparatistes » qui refusaient de débarquer les grands blessés d’Indochine. En 1954, les « rapatriés » d’Indochine, souvent des « petits blancs » qui n’avaient jamais vu la métropole interdits par la CGT à Marseille, durent tourner de port en port durant 4 jours ! ( après 40 joiurs de mer) pour débarquer clandestinement à Séte, de nuit ! N’oubliez jamais ce qu’ont fait les communistes ! Ils recommencent avec Zemmour à Marseille et ailleurs.
Le 14 avril 1947, quinze mois après avoir démissionné de la présidence du gouvernement, le général de Gaulle fonde, avec Jacques Soustelle, André Malraux, René Capitant, Jacques Foccart, et Louis Vallon le Rassemblement du peuple français (RPF)afin de protester contre la constitution de la IVe République votée le 13 octobre 1946. Son programme a quatre axes : réforme de l’État, anticommunisme, alliance capital-travail et souveraineté française dans les colonies.
Six mois après seulement, le RPF gagne les élections municipales des 19 et 26 octobre 1947 avec 38 % des suffrages dans les villes de plus de 9 000 habitants, son rival de droite MRP chutant à seulement 10 %. À gauche, le rapport de force reste stable, dominé par le PCF à 30 %, mais la défection ou l’abstention de la SFIO au 3e tour permet au RPF de prendre les mairies de Paris, Marseille, Bordeaux, Lille, Strasbourg et Rennes mais aussi des communes plus petites, souvent prises au PCF.
Un service d’ordre musclé de 8 à 10 000 militants est constitué puis renforcé après des heurts avec les contre-manifestants communistes finissant en « bataille rangée au gymnase Japy à Paris le 2 septembre 1947 ». Dès le 20 août 1947, Gaston Palewski et Roger Souchal renoncèrent à tenir meeting à Longwy, des centaines de mineurs étant mobilisés par le PCF, selon les souvenirs du second. Ce SO est dirigé par Dominique Ponchardier, ex-chef de mission à la DGER. Claude Dumont, ancien du BCRA et Pierre Debizet, ex du BCRA lui aussi. Certains participeront ensuite au Service d’action civique (SAC)). Selon les historiens, d’autres anciens DGER et BCA, qui ont participé à la création du 11ème choc, section action du SDECE. Parmi eux, Bob Maloubier, qui a raconté dans ses mémoires qu’à la fin de 1947, la « presque totalité de l’unité a été mise en congé pour mission très spéciale, briser les grèves, taper sur les cocos, faire campagne pour le RPF », comme l’affirme selon lui début 1948 le colonel Morlanne, peu avant de muter le chef du 11e choc Paul Aussaresses, dont le patron « officieux » est Jacques Foccart, qui coopérait avec le SDECE depuis 1946, selon plusieurs témoignages recueillis par l’historien Jean-Pierre Bat. Après le meeting de Japy en septembre, où il n’a pas pu parler, André Malraux réclame une réunion d’état-major du RPF pour renforcer considérablement ce service d’ordre.
Débordements à Marseille
Affaire Vincent Voulant.
Le mouvement de grèves commence à Marseille. Le Rassemblement du peuple français (RPF), fondé par De Gaulle en avril a gagné les municipales d’octobre, aux dépens de la SFIO, qui conserve cependant des villes en s’alliant avec lui. L’avocat gaulliste Michel Carlini prend la mairie de Marseille au communiste Jean Cristofol, que la SFIO n’appuie plus. Il augmente le tarif des tramways et quatre jeunes sont arrêtés à la suite du boycott organisé par le PCF. À leur procès, 4 000 manifestants entrent dans le Palais de justice, puis vont à l’Hôtel de ville où éclatent des bagarres, le PCF ayant laissé courir la rumeur qu’elles ont été commencées par le service d’ordre du RPF.
La manifestation part ensuite dans le quartier de l’Opéra de Marseille, où plusieurs propriétaires de boites de nuits sont accusés d’organiser le marché noir. Le jeune ouvrier communiste Vincent Voulant est tué par balles devant une boite de nuit. Le PCF accuse des mafieux du clan Guérini. Lors de ses obsèques, le 14 novembre, trois salariés marseillais sur quatre sont en grève.
« Longtemps obscurcie par la polémique autour du rôle joué par deux compagnies de C.R.S., à majorité communiste », l’émotion causée par ce qui se passe à Marseille le 12 novembre, a ensuite été mis en valeur par des historiens comme Maurice Agulhon, pour qui il semble que la violence et l’ampleur de l’explosion populaire (…) aient surpris la direction du PCF et aient eu un impact le jour même du conseil national CGT, même si les décisions réelles d’action sont reportées à un nouveau comité central le 19 décembre.
Et cette prè-guerre civile dura en 1948, malgré l’ordre de Staline au PCF d’arrêter l’action !
Ah Elizabeth, merci merci