Par Pierre Barisain-Monrose.
Karim Zeribi est né en 1966 à Avignon d’un père Farouk, kabyle (Algérie) et d’une mère avignonnaise. Je l’ai entendu se vanter à la TV d’avoir des ascendants qui avaient lutté pour l’indépendance de l’Algérie, donc contre l’Armée française.
J’ai entendu des propos similaires dans la bouche de la chanteuse Camélia Jordana Aliouane, née à Toulon de parents algériens et aussi chez Arnaud Montebourg. Je ne sais s’ils ont la double nationalité. mais je constate que si ils admirent la lutte de leurs parents contre la France, ils se gardent bien de retourner vivre en Algérie algérienne (et je les comprends), vu l’état de ce pays.
Ces grands donneurs de leçons sur la France et la République laïque se gardent bien de se poser la question fondamentale : « Pourquoi mes parents algériens ne sont-ils pas restés en « Algérie libérée du joug colonial », et « pourquoi si nous les avons tant persécutés, restent ils auprès de leurs tortionnaires ? »
En réalité, ces immigrés de 1ère, 2ème ou x ième génération n’ont de cesse de recréer dans notre réduit hexagonal, les conditions qui les ont fait fuir de la terre de leurs ascendants.
C’est un problème psychiatrique, tiraillés qu’ils sont entre la réalité française où ils se complaisent et le mythe de la lutte anti-coloniale donc anti française. D’où le nombre de malades mentaux qui donnent des coups de couteaux presque chaque jour ou agressent l’Européen de base qui n’y comprend rien.
Sauf miracle, cela ne peut que s’aggraver en raison de l’afflux africain et de la crise économique en France même. « Quand il n’y a plus d’avoine au râtelier, les chevaux de battent ».
C’est d’ailleurs le but de la camarilla qui a ouvert les portes de l’Europe à la passoire de Schengen: « détruire la civilisation occidentale ». Ils n’en tireront aucun bénéfice, tout comme les firmes et banques qui ont favorisé la montée du nazisme jusqu’en 1939. ■
À lire dans JSF…
Lycéens : la République prônée comme religion, ça ne marche pas
Repris des commentaires du 22XII.2021
Je ne comprends pas pourquoi on nous demande de nous taire pour ne pas heurter les sensibilités et pourquoi on laisse s’épancher des franco algériens nostalgiques et revendicatifs. Si nous avons le malheur de dire quoi que ce soit on nous taxe de racistes et c’est puni dit- on par la loi. Il y a un moment où trop visser le couvercle de la cocotte minute elle explose et nous sommes dans une cocotte minute.
On ne le voit ^lus sur CNEWS, où il jouait le rôle de l’arabe de service intégré et c’est tant mieux
Pourquoi ce monsieur parle-t-il toujours de la » République » et non pas de la France quand il fait référence au pays ou il vit grassement de la politique et du syndicalisme?
PARDON POUR LA DIGRESSION
Karim Zeribi fait de même partie de cette fine équipe de commentateurs intarissables, sur les chaines d’infos permanentes, qui font d’ailleurs de l’info avec ce que je nomme moi même « du simple bavardage » de five o’clock, ou de comptoir de bistrot.
On demande à ces braves gens, de nous informer sur des sujets multiples et variés, et l’on pourrait dire donc, que ce sont des tout terrain de l’information, alors qu’ils ne sont que des ultracrépidarianiste du genre, à savoir qu’ils ont une propension évidente à traiter à perte d vue, des sujets dont à l’évidence ils ne savent pas grand chose, pas plus que moi en tout cas et ce monsieur Karim Zéribi, affirme de jour en jour sa compétence dans cette forme d’exercice, un autre aspect du pédalage dans la semoule, qui donne à son couscous un gout étrange venu d’ailleurs. MARC CHAPELLE