Le président de la République prétend incarner la jeunesse, la nouveauté et la rupture au détriment du peuple français. Qu’en sera-t-il si à nouveau Emmanuel Macron est élu pour un second quinquennat, s’interroge Dominique Jamet dans Valeurs Actuelles. (
Décembre 2016. Surgi de nulle part, un jeune homme monopolise le devant de la scène. Qui est-il ? Que veut-il ? Est-il de gauche ? De droite ? Ou des deux en même temps ? Ou peut-être d’aucune des deux familles qui, à l’époque, sont encore censées structurer notre vie politique? Il est passé par une grande banque, font valoir les uns. Il a commencé par adhérer au Parti socialiste, objectent les autres. Il a servi sous le président Hollande, rappellent ceux-ci. Il l’a trahi sans vergogne, observent ceux-là. Les premiers verront dans le nom des quelques personnalités politiques qui le soutiennent dès le départ, – Collomb, Le Drian, Castaner, Patriat – la confirmation de son engagement social-démocrate. Les seconds pointeront du doigt la facilité et les sources du financement de sa campagne, et surtout, le ralliement à sa cause, juste avant ou juste après sa victoire, d’éminents transfuges du centre et de la droite – Bayrou, Le Maire, Darmanin, et l’inconnu Édouard Philippe, bras droit de Juppé.
Qu’importe, la question n’est pas là, affirme celui qui, à l’époque, ne sollicite l’appui d’aucun parti classique et se borne à prouver son mouvement en marchant. Emmanuel Macron n’a encore jamais brigué ni exercé aucun mandat local ou national. Ignorant le cursus honorum traditionnel, il vise d’emblée au plus haut en allant au-devant du peuple tout entier. Enfant chéri et choyé du système, il prétend dynamiter celui-ci, incarner la jeunesse, la nouveauté, la rupture. Dénonçant tous les archaïsmes, il entend faire de notre pays la « start-up nation » et prendre la tête de la « task force » qui va débarquer sur les plages de la modernité. Il emprunte au monde de la banque et de la finance son horrible sabir globish et prend plaisir à pratiquer l’anglais qu’il entend bien et parle mal. Son adjectif préféré à l’époque, pieusement repris et mis à toutes les sauces par ses fidèles puis par les médias est l’horrible « disruptif ». On va voir ce qu’on va voir.
Surtout pas un deuxième mandat ce serait une catastrophe pour notre pays. C’est un Président insignifiant, immature, dangereux, à l’ego démesuré. « Un gamin à l’Elysée » (sic Luc FERRY)
J’ai entendu , il y a longtemps, à la radio, le même Luc Ferry parler de la « longue sieste chiraquienne ». Ministre de L’éducation Nationale de Chirac durant près de 2 ans, il dit n’avoir jamais pu discuter avec lui de ses problèmes qu’il éludait systématiquement.
Il ni a pas que Macron qui est nuisible pour notre nation mais tous ceux qui l’entourent. Tous ces ministres incultes, incompétents, tyranniques qui haïssent la France et les français. Chacun faisant sa petite part de destruction de notre nation. Un psychiatre italien Adriano Ségatori avait analysé le profil de macron comme psychopathe et on peut ajouter probablement à ce jour pervers narcissique.