« Comme tous les cinq ans, la France, en avril prochain, jouera à pile ou face son avenir, en élisant le président de la République. Comme chaque fois, l’Action française regrette que le Bien commun de la nation soit ainsi livré aux ambitions des partis politiques et soumises au vrai pouvoir qui gouverne en République, l’Argent. Pour autant, convaincue que la politique du pire est la pire des politiques, l’Action française refuse de se désintéresser de scrutins nationaux aussi lourds d’incertitudes que de conséquences. C’est pourquoi l’Action Française, désireuse d’éviter les plus grands maux au pays, engagera les Français à choisir entre les candidats dont le programme, l’action et la personnalité seront des gages de patriotisme et traduiront un vrai sens de l’intérêt général.
1. L’INDÉPENDANCE DE LA NATION ET LA SOUVERAINETÉ DE LA FRANCE
- Le futur chef de l’État devra refuser l’intégration toujours plus poussée de la France dans une Union européenne qui signifierait sa dissolution comme nation indépendante. Si la sortie de l’euro et de l’Union européenne demeurent aux yeux de l’Action française des objectifs à plus ou moins long terme, elle souhaite que, dans un premier temps, le futur président mène, à l’exemple des Allemands, dans le cadre des institutions européennes actuelles qui sont appelées à évoluer, une politique reposant sur le seul souci de l’intérêt national.
- Au point de vue du droit, il devra prendre les moyens pour faire prévaloir les lois françaises et récuser tout diktat tant de la Commission européenne que de la Cour de Justice de l’Union européenne et de la Cour européenne des droits de l’homme.
- Afin d’assurer la souveraineté de la France, le futur président devra récuser également tout engagement ou prétendue alliance qui soumette le pays à d’autres intérêts que les siens au plan international comme au plan militaire. La sortie du commandement intégré de l’OTAN est une première étape indispensable, prélude à une sortie complète d’une alliance que la disparition de l’Union soviétique a rendue caduque. La France doit pouvoir dialoguer librement avec tous les États, au gré de ses intérêts et de ceux de la paix dans le monde. À cette fin, il conviendra de redonner tant à notre diplomatie qu’à nos armées les moyens adéquats.
2. LA RESTAURATION DES LIBERTÉS
Instrumentalisant la pandémie autant que la menace islamiste, le pouvoir macronien, avec la complicité des fausses oppositions de la droite et de la gauche, a achevé d’imposer à notre pays sa dictature. On ne compte plus les nouvelles lois scélérates qui, s’ajoutant à toutes celles qui ont été adoptées depuis 1972, ont été votées sous Macron, pour davantage brider la liberté d’expression, notamment sur internet, interdire l’école en famille, rendre obligatoire l’endoctrinement républicain et mettre la liberté religieuse sous surveillance. De plus, la création du passe vaccinal, après celle du passe sanitaire, ouvre la voie à une surveillance généralisée de la population à la mode chinoise. C’est pourquoi le futur président devra s’engager :
- à restaurer toutes les libertés bafouées ;
- à déjudiciariser la liberté d’expression et la recherche historique ;
- à rendre à la famille la responsabilité première en matière d’éducation et d’instruction.
3. LE BIEN COMMUN ET LA JUSTICE
Alors que cinq ans de Macronie se sont traduits par un mépris généralisé des Français et par une violence sans précédent de la part de la caste au pouvoir, qui n’a cessé d’entretenir une guerre civile larvée, la restauration de la paix sociale est une nécessité. Dans ce but, le futur président devra :
- procéder à un véritable réaménagement du territoire rompant avec une métropolisation ruineuse aux plans écologique, économique, social et des libertés communales ;
- engager la réindustrialisation du pays afin d’assurer à la fois la souveraineté économique du pays et, à nos compatriotes, un pouvoir d’achat digne qui soit le fruit de leur travail ;
- lutter par des mesures efficaces contre l’immigration invasive, un communautarisme importé, prélude au délitement de notre société, une insécurité toujours plus grande et un laxisme judiciaire entretenu par la mollesse de notre législation.
L’Action française n’ignore pas que le régime républicain, indépendamment de la bonne volonté de patriotes sincères, interdit toute politique efficace de long terme dans ces domaines. Elle soutiendra toutefois tout candidat qui fera siennes ces exigences d’intérêt national, puis tout dirigeant politique qui les mettra en œuvre dans le souci du Bien commun. Elle n’en continuera pas moins de lutter pour préserver l’héritage et ramener l’héritier, la monarchie royale étant seule à même d’assurer une politique pérenne garantissant le salut de la nation et la prospérité des Français. »
Le bureau politique de l’Action française ■
Publié le 2 février 2022
1/ rendre à la famille la responsabilité première en matière d’éducation et d’instruction.
2/ lutter par des mesures efficaces contre un communautarisme importé,
L’Islam se propage d’abord à l’intérieur des familles et laisser la liberté d’insruire, c’est ouvrir les madrasas et les médersas, foyers du nationalisme arabe (Oumma), erreur que nous avons faite en Algérie. Pour moi, il y a incompatibilité entre ces 2 principes.
Quant à la sortie de l’Euro, elle est la condition de notre vrai redressement. Si nous avions pu dévaluer à temps, nous n’aurions pas perdu notre industrie. La dévaluation depuis Philippe le Bel en 1294, est la solution quasi unique à notre inconséquence toute gauloise, et l’Euro nous en empêche, en nous soumettant en plus à l’Allemagne . Pas de souveraineté sans monnaie nationale.
Très bonnes questions qui méritent une réflexion approfondie. La première implique des mesures propres à vérifier comment, par la tolérance zéro et par le contrôle du comportement il serait possible, notamment en milieu scolaire, de sanctionner les comportements et les actes inacceptables.
En ce qui concerne la question de l’euro dont nous sommes victimes, le remède passerait par l’application de droits de douane rendus légitimes dans le cadre d’une souveraineté retrouvée au sein d’une europe confédérale de peuples souverains.
L’Euro à l’intérieur de l’Europe n’est pas si libre qu’on ne le prétend: Je cite les conditions:
Vous pouvez transférer librement de l’argent liquide: billets de banque et pièces de monnaie, chèques, chèques de voyage, cartes prépayées, lingots d’or, des titres ou des valeurs, depuis l’Union européenne: Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lituanie, Lettonie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède. ou l’étranger vers la France, sans l’intermédiaire d’un établissement bancaire. À partir de 10 000 € d’argent transporté physiquement, vous devez faire une déclaration à la douane, que vous soyez on non le propriétaire de l’argent. Cette déclaration se fait principalement en ligne. Vous pouvez être sanctionné si vous ne faites pas la déclaration ou si elle est fausse.
Cette obligation concerne également les couples, les familles ou les personnes quand la somme de leurs fonds atteint 10 000 € et qu’il existe entre eux une communauté d’intérêt.
Exemple :
Si l’un des époux transporte 5 000 € et l’autre 5 000 €, chacun d’eux doit faire une déclaration. Si l’un des époux peut apporter la preuve que la somme transportée lui appartient seulement à lui et non aux 2, il ne fait pas de déclaration. La preuve peut être constituée par exemple par le contrat de mariage ou de Pacs s’il prévoit la séparation des biens personnels.
Vous devez déclarer l’argent transporté si sa valeur est supérieure ou égale à 10 000 €.
Il s’agit des éléments financiers suivants :
Espèces (billets de banque et pièces de monnaie)
Or (lingot ou pièce)
Plaques, jetons ou tickets de casino
Chèques et chèques de voyage
Billets à ordre
Effets de commerce non domiciliés
Bons de caisse anonymes
Mandats
Monnaie électronique (cartes prépayées…)
Valeurs mobilières, bons de capitalisation et autres titres de créances: Document écrit décrivant le droit qu’une personne a de recevoir le paiement d’une dette de la part d’une autre personne, et son montant ( fin de citation)
Ces conditions, soi disant nécessitées par la lutte contre la délinquance , » l’argent sale » , montre que le liberté réel dans l’Europe n’existe pas. Essayez de virer plus de 4.000 euros depuis votre banque ! Allez directemnt à l’agence pour une somme plus elveée !: On va vous faire attendre et vous interroger: pourquoi ? A qui ?
Nous sommes en réalité encarcanés dans un étau financier, évidemment sous le prétexte de la sécurité. Les crypto monnaies sont un moyen d’essayer d’y échapper mais, là aussi, les Etats vont y mettre leur nez puisqu’ils contrôlent les réseaux informatiques.
Pas fou, l’Etat lui même peut interdire la détention d’or et le saisir ( cf la Révolution françaiçse qui interdit le payement par monnaie sonnate et trébuchante et imposa l’assignat) . Plus récemment; Roosevelt en 1933 a interdit et saisit l’or privé en imposant un ncours, ce qui était un vol pur et simple, , le Front populaire en 1936 et De Gaulle en 1945 ( prolongé juqu’en 1948) , toujours évidemment au nom de la liberté … de se faire plumer…
Je conclue de cette lecture, qu’effectivement, comme nos élites le beuglent à l’envi, la république a bien des valeurs, mais que ces dernières stagnent au fond des coffres forts de diverses sociétés of shore .
MARC CHAPELLE
Bravo !
bonjour
voter pour qui?????
corialement
thizy