Disons-le très simplement et, si possible, brièvement. Si nous reprenons nombre de discours ou interventions diverses d’Éric Zemmour, tel ce discours à Saulieu, samedi 12, ce n’est pas par choix ou tactique électoraliste, encore moins pour donner une quelconque consigne de vote. Nous n’en donnons pas, nos lecteurs sachant fort bien pour qui ne pas voter et choisissant, ensuite, selon leur sentiment. Si nous reprenons ce discours, c’est pour sa valeur intrinsèque. À vrai dire, nous n’en connaissons pas de plus proche de la pensée d’Action française profonde, dont, à certaines exceptions et contradictions près, Zemmour est à l’évidence pétri. Et dont il a d’ores et déjà réussi à fortement marquer la campagne électorale. Le lecteur, s’il écoute, appréciera. Il n’en deviendra pas républicain pour autant. Voilà tout.
Surtout ne pas mettre en parallèle le discours de Valérie Pecresse si on a un tant soit peu de compassion pour cette dernière.
Zemmour caresse avec succès notre fibre patriotique ,on en avait grand besoin. Il a la flamme que nous cherchons vainement partout nous n’avons pas besoin pour marcher de critiques d’auto- flagellation et de piques acerbes mais de positif et de perspectives d’espoir en accord avec notre magnifique Histoire .
Je n’aie pas pu écouter le discourt de la guerre des étoiles de Precresse jusqu’au bout tellement il est hors sujet. Cette femme progressiste de gauche, pro immigration prouve qu’elle n’a rien à dire car elle est comme Macron elle déteste les français. D’autant quelle veut éparpiller partout en France les cités de voyous des grandes villes pour y semer le chao tout simplement.
bonjour
superbe discours……
cordialement
Invité ce dimanche 13 février sur Radio J, Yannick Jadot s’est livré à une charge véhémente à l’encontre d’Éric Zemmour. Ce dernier « fait le juif de service pour les antisémites », a estimé le candidat écologiste à la présidentielle face à Frédéric Haziza. « Zemmour porte des pulsions de mort, je porte des pulsions de vie », a continué l’eurodéputé. Avant d’estimer que l’ancien polémiste essaye de « réconcilier une partie de la France avec l’Algérie française, avec Pétain, avec l’antisémitisme »
Il ajoute: Cela nous renvoie à des pages de l’histoire extrêmement violentes »
Prenons le au mot et rappelons les noms de nos morts pour la France
D’abord, les « Juifs de service » Zemmour : 19 morts pour la France
14-18 : 15 Zemmour
39-45: 4 Zemmour
Jadot que nous ne quelifierons pas « d’écologistes de service » par respect pour eux: 11 morts pour la France
14-18: 10 Jadot
39-45 1 Jadot
Rappelons aussi à leur mémoire que les Traoré abondent, nous rappelant que ce nom n’est pas synonyme d’anti France:
76 Traoré sont morts pour la France !
14-18; 1
39-45 36
Indochine : 20
Algérie: 10
Cette sinistre comptabilité nous parait nécessaire pour « relativiser » les propos de Mr Yannick Jadot . Ces hommes étaient tous « au service de la France » et méritent notre respect, même si ils « nous renvoient à des pages violentes de notre Histoire ».
Manque de chance de tomber sur une bizarrerie : à 11mn 35 » La France a inventé ( sic ) Jeanne d’Arc ; elle a inventé Saint-Just ( ? ) ; elle a inventé Clemenceau… »
Remarque intéressante sur la psychologie de Zemmour, le « non-dit » du père Freud , car la France n’a pas inventé ces 3 personnages ni même créé.
Elle les a « suscités », elle a peut être « favorisé en son sein » leur apparition. mais elle ne les a pas « fabriqués »
La France , fille ainée de l’Eglise, puis en 1789, fille de la Révolution probablement maçonnique, a vu apparaitre ces 3 personnages étonnants, hors du commun, sous l’effet de la Providence ou des circonstances, « météores » dans un monde normalement ordonné.
« Mal nommer les choses contribue au malheur du monde »
Remarquez qu’inventer vient du latin INVENIRE, verbe dont les dictionnaires étymologiques nous disent qu’ « il doit être compris au sens de découverte de l’existant et non pas de création ». Cela revient à ce que vous dites, me semble-t-il. Convenons que tout ça c’est un peu chipoter – sur fond de nos préférences à pour l’élection à venir. C’est le morbus democraticus qui peu ou prou nous atteint tous. Et, en plus, nous sommes tous d’accord, ici, je crois, sur la supériorité du système dynastique : le Roi n’est pas choisi, il est donné. Exit notre préférence. Et rabattu notre caquet.