Par Olivier Perceval.
Le président Macron n’est certainement pas le responsable de toutes les calamités qui tombent sur la France ou l’Europe, même si un certain nombre d’entre elles prennent leur source dans une politique imprévoyante et démagogique depuis des décennies et dont il est aussi le fidèle héritier. Ce n’est pas lui qui a inventé la COVID, pas plus que l’invasion de l’Ukraine par les Russes. Il n’en demeure pas moins que le Président de la République sait habilement « surfer » sur la couardise d’une bonne partie de Français plutôt âgés qui constituent l’essentiel de son électorat. Les militants de canapé qui s’expriment souvent courageusement derrière un clavier pour, sans vergogne, et avec la plus grande véhémence, condamner les non-vaccinés hier, et ceux qui prennent un peu de distance face à la médiatisation du conflit aujourd’hui.
Sa démarche diplomatique, reste cependant difficile à mener pour la raison simple, qu’il ne dispose pas des moyens de faire évoluer la position du camp dit « occidental », n’ayant de mandat ni de Bruxelles, la vraie instance de décision européenne, ni de Biden, le seul chef de l’OTAN. Les mains vides, il se présente donc pour parler des heures avec Poutine sans apporter de propositions concrètes n’étant pas mandaté. Que se disent-ils en dehors des échanges moralisateurs d’usage. On peut se le demander. Entre chaque tentative, il fait des déclarations publiques résolument hostiles au Kremlin, communication oblige, et annonce sur les médias aux Français que cela va de plus en plus mal.
Tout le monde loue ses efforts malheureusement inutiles, et beaucoup, au vu des sondages en hausse, montrent qu’ils sont prêts à reconduire ce « chef de guerre » qui mouille la chemise pour la paix, même si son impuissance apparaît trop évidente pour les observateurs éclairés.
On est donc, semble-t-il, reparti pour un tour au nom de l’unité nationale derrière le chef, un nouveau quinquennat plein de « celles et ceux » et de « en même temps » pour satisfaire l’union de la gauche bourgeoise et libérale et la droite molle et craintive. Déjà habitués au confinement, les va‑t’en guerre du LREM, en admiration légitime devant le patriotisme ukrainien, sont déjà tout disposés à se terrer dans d’improbables abris, et attendre que le chef de l’Etat, qui est aussi le chef des armées, avec des munitions pour trois jours, arrête l’ogre Russe sur le point de se ruer sur la France.
Après tout, on a le « Clémenceau » qu’on mérite et peut être que pour la postérité il sera appelé un jour le « père La Victoire ». Son entrée en campagne plutôt sobre, qui n’est en fait qu’une formalité, le place tout de suite au-dessus de la mêlée avec l’avantage certain d’être aux affaires du pays (et même du monde) en ces temps du retour du tragique. Du haut de cette estrade, il ne jette même pas un œil sur les candidats concurrents, lesquels n’auront d’autres recours que de chercher à séduire les abstentionnistes, énorme réservoir, et les distraire de leurs parties de pêche déjà programmées pour le premier tour des présidentielles. ■
OLIVIER PERCEVAL
Action française
Winston Churchill disait « Un homme politique pense à la prochaine élection, un homme d’État aux prochaines générations ». Macron n’est pas un homme d’État, ni même sans doute un homme politique, juste un petit banquier porté au pouvoir par l’oligarchie mondialiste à la suite de la manipulation des élections que l’on sait (Affaire Fillon sortie du placard par le parquet financier, officine politique créée par Hollande, afin d’éliminer ce candidat, pour qu’au second tour ce soit Marine Le Pen qui soit affrontée à Macron, et campagne en faveur de ce dernier menée par tous les médias qui sont possédés par une demi-douzaine de milliardaires proches du candidat Macron) Si Macron est réélu, la France, qu’il n’aime pas, et les français, qu’il méprise s’ils ne sont pas des milliardaires, vont souffrir. Le remarquable dictionnaire du progressisme (qui fait suite aux non moins remarquables dictionnaires du conservatisme et des populismes, de Rouvillois, Dard et Boutin) cite des paroles de Macron, ce progressiste furieux, qui montrent sa volonté de casser la France, vieille nation historique, pour la fondre dans le grand brouet tiède du fédéralisme européen et de la mondialisation sans-frontièriste et droitdelhommiste. Macron est dans la droite ligne des Attali et Minc, pour qui les nations et les peuples historiques doivent s’effacer, remplacés par des populations indifférenciées, consuméristes, parfaitement adaptées à ce que veut la mondialisation capitaliste. En ce sens il est à l’opposé de ce que nous montre la recomposition multipolaire du monde, où l’ont voit des identités fortes se mettre en place, la Russie, la Chine, l’Inde etc. Macron réélu peut encore faire beaucoup de mal à la France mais il appartient sans doute déjà à un monde en train de s’effacer, celui du mythe de la mondialisation heureuse, il n’est que le l’expression de ce ventre mou de l’occident qu’est l’Europe de Bruxelles.
Ce «Parti de la trouille», malheureusement, bien dénommé, me remplit de peur véritable. Il ne faut pas confondre peur et trouille, en effet : le premier est un sentiment légitime en présence du danger, on s’élève au-dessus de ce sentiment grâce au courage, on se donne du cœur au ventre ; on ne surmonte pas la trouille, elle n’est pas faite pour ça, on s’y absorbe et, d’une certaine façon, on en jouit ; c’est une sale maladie, dont le bacille se tient toujours aux aguets et adopte les mutations opportunistes induites par les cours de gaz, dollar, pétrole, maroquin ministériel, et autres buses. Le morpion Maqueronibus monté en graine n’a évidemment pas inventé le COVID – il manque de savoir à bouillir dans sa marmite électronique –, mais il l’a essaimé, éparpillé, confirmé génétiquement dans les consciences. Il n’est pas responsable des merrrrdiers de l’EurOtan, mais – tout casqué de robotique – il est sorti de ce moule et il en réépouse toujours les contours avec lubricité.
Mais attention ! La trouille est plus dangereuse que tout autre danger, d’autant qu’aucun courage ne peut lui être opposé ; comme aime à plaisanter souvent Olivier : «Depuis l’invention de la poudre, il n’y a plus d’homme fort.»
La trouille, c’est le «péché contre l’Esprit» rapporté à l’infinitésimale petitesse des diablotins d’aujourd’hui, moins spectaculaires que les archange déchus que Milton a pu voir, mais autrement plus satanés en vérité.
Aucun autre recours que la prière et la Guerre sainte.
Vive Dieu, la France et le Roi.
Les trouillards, on ne peut rien pour eux. Ils se font peur tout seuls. Ils inventent continûment leurs raisons d’avoir la trouille…
Pour ceux qui veulent en savoir un peu plus tout en réservant leur jugement, je conseille la video – argumentée plus qu’engagée – de M. Moreau que voici:
https://www.youtube.com/watch?v=oNdg-kSfkpM
L’avenir seul dira qui a le moins menti, qui a gardé son sang froid
OK, la critique est Française, mais on ne peut avoir autant de certitude non fondée. L’air du temps en est l’image, notre Minet, ministre a été le plus grand dépensier pour se fabriquer l’image de président, (Ministère de Bercy.)
A quatre vingt deux ans et je suis pas le seul, à comprendre que la ou le COVID aurait du être géré par les vrais professionnels de la santé sur le terrain. Poutine a maitrisé le COVID , puisque le chef de guerre a abandonné ses ouailles pour « figuré « à l’Europe., des négociations avec l’impossible. Il suffirait que les responsables du monde libéral et démocratique fassent taire le belligérant,. Mais qui en aura le courage, pour éviter un carnage humain. Si on l’avait fait pour Hitler , l’histoire eut été autre.
La peur du nucléaire fait oublier l’invasion, la colonisation de la France, par l’Islam guerrier de terrain lui. Ou sont passés les gilets jaunes devant la montée du prix des carburants, quant les sondages truqués donnent déjà le résultat des élections présidentielles. La basse Bretagne voulait la démocratie depuis Louis XIV (bonnets rouges ou bleus) mais jamais elle n’a pensé couper la tête du roi, fut il celui de France, Or, l’oligarchie actuelle profite du système puisque les Français ont la trouille. A vouloir trop faire on fait mal.
Si dans quelques mois ceux qui auront voté Emmanuel MACRON, viennent se lamenter, il sera possible de paraphraser LA FONTAINE: que faisiez vous en avril dernier, vous votiez pour le Pt sortant pas sorti, j’en suis fort aise eh bien dansez maintenant
Plutôt que de jouer au président candidat, ne pourrait-il pas dans son immense stratégie de communication, trouver le larron des amerlocs qui nous regardent nous entretuer. Je parle du président de l’Ukraine Zelenski. Celui qui n’a pas voulu appliquer les accords de Minsk2, et qui maintenant appelle toutes les entités sous influences et dépendances américaines démocrates de le sortir du mauvais film dont il est l’acteur principal.
Et quand notre ‘président candidat, l’aura trouver de le livrer « mort ou vif » au Président de la Fédération de Russie et éviter ainsi la venue des Satan2, ces missiles hypervéloces russes.
Ce scénario conviendrait très bien aux américains profonds, ces « déplorables » comme disait la Clinton après sa défaite contre Trump. Car ces ricains seront ruinés par la chute de toutes les places financières du Monde, juste après le feu nucléaire sur Bruxelles, Berlin et Paris et Londres EN MEME TEMPS.
Quant à ceux qui s’imaginent que le film se terminerait bien, si le méchant Zélenski venait à être livré « mort ou vif » aux vainqueurs européens du Reich germanique, il faut leur faire savoir que nous risquons la saison 2 avec la reconquête de toutes les petites Ukraines islamisantes en France.
Il convient peut-être de rappeler aux habitants de ce pays qu’il est écrit dans des textes millénaires : « Malheur au pays dont le prince est un enfant ».
Même si un certains électorat de personnes retraités votera pour le psychopathe, il est certain qu’il n’est pas à 25% comme la propagande ne cesse de le faire croire.
Dans la trilogie Celtique 1+1=3, puisque l’homme et le femme ont un enfant. C’est voir l’avenir serein. Pour ce qui concerne notre actuelle civilisation argentée pour certains 1+1= 0 puisque l’homme est une femme . Qu’est devenu l’AVENIR que l’on nous promettait de PAIX par EUROPE imposée.
Au contraire cette Europe prend partie dans le problème Ukrainien et s’arme puisqu’elle permet à la France et à l’Allemagne de se préparer à la guerre et met en place des militaires armés au frontières extérieures de l’Ukraine, et notre actuel président prend parti pour des gens qui brandissent le drapeau à » croix gamme », souvenirs, souvenirs
Comment JUPITER peut négocier la PAIX en prenant parti, THEATRE puisqu’il contraint les échanges affamant les peuples et bientôt le sien. Les Français traités de vaux par de Gaulle devraient se réveiller et chercher un guide honnête et sincère, non inféodé.
Il est venu le temps pour les royalistes d’imposer en expliquant les données de la situation indélicate dans laquelle nos élus nous conduisent, celui qui représente TOUS les Français, la chose est si GRAVE que l’on ne peut ne pas la voir. Trop de mensonges et un parti pris, dans un problème qui ne nous concerne pas , sauf pour aider les victimes. Des élections pourquoi? Un roi OUI.