VIDÉO 2’25 – La campagne électorale réserve souvent des petites perles. Ou parfois des grosses. Certaines sont à première vue stupéfiantes. Comme en témoigne ce discours de Gérard Larcher, président du Sénat, sur la dévotion de Charles Péguy à la cathédrale Notre-Dame de Chartres. Surprenante allocution, en effet. Chacun s’en fera sa propre idée. On pourrait dire méchamment : « nécessité fait loi ». Électorale, s’entend. Et puis l’on pourrait dire aussi « Merci Zemmour » qui a marqué cette campagne, l’a tirée vers le haut, comme nul autre, à imposé les thèmes essentiels, et a placé le débat au vrai niveau. Existentiel, civilisationnel, spirituel. Il l’a fait. Les autres ont suivi comme il leur revenait de le faire. C’est à dire petitement. Larcher, lui, s’essaie à l’altitude, sur un terrain qu’on ne lui a pas appris à connaître dans les loges et les tenues. Il y a du mérite d’apparente ou – qui sait ? – vraie sincérité. La sincérité d’un temps d’élection.
Vas-y, bouffi, hypocrite, fais-la donc cette prière !
C’est le même qui scandait « je ne partage aucune mais aucune des valeurs de Zemmour » qui maintenant nous joue la carte France patriotique et pourquoi pas catholique ..alors qu’il est franc maçon ..
Tout est bon pour gagner des électeurs.
Larcher se fou pas mal de la population comme Pecresse et Macron. Qu’ils aillent en enfer.
Cela rappelle des souvenirs mitigés de 40 où Paul Reynaud allait à Notre Dame, ce qui ne nous pas sauvé de la défaite catastrophique. .
IL ne faut pas tout mélanger, le retour à une certaine foi qui nous élève, peut exister sincèrement et donc être salué, mais cela ne dispense pas d’agir efficacement contre les causes qui nous mènent à notre perte ni de sonner le tocsin contre le laxisme arrogant et anti-chrétien, si le mots ont un sens – de notre président. Je préfère Alexandre Newski dans ces temps de confusion et puis comme l’a écrit un héros résistant en Autriche contre le pouvoir hitlérien, » le Christ ne descendra pas de la Croix pour punir les méchants »; Ne pas agir concrètement, c’est déserter l’histoire. Et il ne suffit pas de belles phrases.