Sur sa page Facebook, Gérard Pol a noté ceci : « Dans La Reine morte, d’Henry de Montherlant, le vieux roi Ferrante, furieux contre son fils, Don Pedro, prononce « En prison ! En prison pour médiocrité »
Sandrine Rousseau n’a pas pensé à établir un « délit » sur un tel fondement. C’est, il est vrai, étranger à ses catégories -mentales et éthiques- et à ses compétences. Si elle en a.
À Paris, où tout devient vite un sujet, tout le monde parle de cette dernière trouvaille de cette Sandrine nationale, vaguement piquée, comme on dit dans la langue familière.
» Le privé est politique » c’est l’argument des pouvoirs totalitaires, en particulier communistes, pour justifier la mise sous contrôle de la sphère privée. Cette allumée de Sandrine Rousseau ne serait pas désavouée par Xi Jinping.
Ce qui est très révélateur de ce genre dégénéré mental est qu’elle dit en permanence vouloir combattre l’extrême droite dans son imaginaire mais elle par contre a bien une idéologie marxiste totalitaire sur le controle de la population qu’elle trouve parfaitement normal. On devrait l’envoyer en Corée du nord avec son pote Jadot.
A tout qualifier de « délit », le mot se banalise et les délits « classiques » sont ainsi minorés .
( Les « écologistes » utilisent en fait les mêmes ficelles que les bolchevistes .)
Cette tendance va de pair ( pas seulement chez les marxistes , là ) avec l’utilisation dénaturée du langage : « jeunes » pour voyoux , par exemple (merci pour les jeunes !)