
Richard de Seze a publié sur sa page Facebook cette remarquable missive avec pour seule remarque celle que nous avons reprise en titre [Service public]. Cela suffit, n’est-ce pas ? Le lecteur lira, jugera, extrapolera, fantasmera s’il le souhaite sur la dictature de la pensée exercée sur cette dernière par « celles et ceux » censés en défendre la liberté. Tout cela passe. Rien ne bouge. Rien ne s’oppose. Dans le camp Zemmour, pour se remettre de la défaite, et attendre les jours meilleurs, on a inventé cette formule somme toute, hélas, assez juste : « ça ne va pas encore assez mal pour que ça aille mieux ». ■