
Renaud Camus a bien raison de pointer cette haine de la France qui anime l’engeance en question. Ces gens-là seront peut-être, un jour, traduits en justice, jugés et condamnés, pour crime de haute-trahison. Ce serait, en quelque sorte le jugement des juges, puisqu’ils se sont autoproclamés tels et qu’ils auront passé leur vie à juger les autres au nom d’une moraline à deux sous. « Le Jugement des juges », l’expression parlera à ceux qui aiment les poètes et la poésie davantage encore que les juges. JSF
Mais alors qu’en est il de ces militaires Ukrainien du bataillon Azov couvert par Zelenski qui se prenaient en photo avec les drapeaux Ukrainien, Azov, de l’Otan sous la bien veillance de l’UE et dont aucun merdias ne parle comme celui-ci?
La plus grande partie des médias français est ignoble. La caste journalistique ne cache même plus sa détestation de la France, c’est à qui la salira le plus. Mais cette attitude se retrouve aussi dans la caste politique, de Macron, qui accuse son propre pays de crimes contre l’humanité, à l’extrême-gauche qui courtise l’islam voire l’islamisme. Dans son journal 2018 Renaud Camus cite les paroles d’un candidat LFI aux législatives de 2017, qui traite les français de souche de moisissures, appelle ceux-ci à donner des prénoms arabes à leurs enfants pour s’adapter à l’invasion hautement souhaitée et encouragée par ces gauchistes. Quant à l’ineffable Mélenchon, il n’a que les mots de créolisation et de métissage à la bouche, il dit qu’il n’aimerait pas vivre au milieu de blonds aux yeux bleus (il doit manifestement confondre les français et les suédois). Cette haine de soi est une pathologie typiquement nationale. On n’imagine pas l’équivalent dans des pays comme la Russie, la Turquie, l’Iran, la Chine ou même les USA, où ce genre de propos haineux condamnerait à l’ostracisme ceux qui les tiendraient. Courrier international fait partie du groupe le Monde, ce qui explique bien des choses. ce quotidien est le torchon de référence du politiquement correct.
Eh oui ! «Le Jugement des juges» ! Quand, à la barre, seront appelées la Reine et Charlotte Corday !… Sans doute, un des plus beaux poèmes de la langue française, formellement, et, probablement, l’un des encore plus beaux pour l’esprit qui animait Brasillach, lorsque, dit-il, chaque soir, il relisait le récit de la Passion, dans les quatre Évangiles.
Dans les milieux du torchon logé sous cette couverture, on ne veut pas lui pardonner «les petits», sans que nul ne puisse exactement savoir ce que la formule ambiguë pouvait bien signifier exactement ; mais, du moins, chacun qui a lu Brasillach sait qu’il était un homme d’une profonde bonté, si bien que ce qui lui est reproché ne peut absolument correspondre à aucune réalité.
En revanche, la caricature du «Courrier international» est très exactement du même tonneau que les caricatures antisémites qui fleurissaient sous le nazisme, je dis bien EXACTEMENT : c’est la même haine répugnante contre une catégorie humaine dont les caricaturistes voudraient qu’elle ne soit justement plus tenue pour digne de l’humanité… C’est de cette farine polluante animale dont le Maqueron avait fait distribution lorsqu’il considérait que les non-vaccinés n’étaient plus des «citoyens»… À vrai dire, du reste, sans le savoir, il avait raison : non-vacciné, tout comme auparavant et ensuite, je me suis toujours refusé à correspondre à la robotisation du «citoyen» républicain – ci-devant, de race ; contre-révolutionnaire, en soumission pleine et entière à la sainte Providence ; et canard boiteux, aussi, misérablement…
Ce furent ces français modestes qui ont résisté à l’envahisseur et caché des juifs quand les « intellectuels « de gauche et les politiciens socialistes et même communistes collaboraient. Ces journalistes incultes et malhonnêtes seront ils jugés ? leur jugement sera la désaffection de leur lectorat. Supprimer les subventions à la presse precipiterait le mouvement
Oui cette affiche sue la haine, au sens propre et figuré, des Français. L’Alsacien que je suis totalement par mes origines peut rappeler une anecdote que ma nourrice (en fait gouvernante ) m’a rapporté après la guerre. : A la gare de Strasbourg était affiché fin 1940 ( après la ré-annexion de l’Alsace ) une affiche où l’on voyait une accorte teutonne avec son balai jeter dehors toute la » pouillerie française », qui rassemblait pêle-mêle un coq gaulois et bien sûr un béret basque, comme emblème totémique. Comme quoi les auteurs de cette affiche ignoble du « courrier international » ont de qui tenir.
Le béret dit « basque » n’est plus de mise depuis des lustres dans les rues . Et portant , cette image demeure et l’on s’y complet – donnant des arguments à ceux qui , malveillants , veulent tourner en dérision- ( A.H y voyait , déjà ! le symbole du crétinisme français )
A une réunion d’entreprise à laquelle étaient conviés des cadres japonnais , ceux -ci arrivèrent béret sur la tête , baguette de pain sous le bras . l’encadrement français y vit un trait d’ humour ; y avait il de quoi ?