La plainte d’Alliance peut-elle l’inquiéter ou au contraire servir sa stratégie d’agitateur ? La suite le dira.
Mélenchon ne rêve que de « faire le buzz » comme on dit dans le baragouin primitif actuel. Et, quoiqu’il puisse s’ensuivre pour lui, force est de constater qu’il l’aura bien et activement cherché.
Il n’est pas interdit non plus de se demander si sa radicalité tonitruante n’aura pas pour résultat d’effrayer les bobos et gens âgés susceptibles de voter Macron et de renforcer ce parti de la peur ou du « conservatisme » qui s’apprête à élire la majorité parlementaire dont le Chef de l’État aura besoin pour tenter de gouverner… ■
Amusant :
lundi 22 février 2016
Quand Mélenchon se félicite de l’intervention russe en Syrie … il a raison
y Il y a des moments où Mélenchon est sympathique. Où son langage direct, ses coups de gueule, son refus des vérités obligées, de la pensée mécanisée, sa dénonciation frontale du conformisme servile des médias, sa vision simple de réalités évidentes, un certain réflexe national, et même l’expression du besoin élémentaire de « rétablir l’ordre », rendent un son vrai. Mélenchon reste lui-même, avec son idéologie et ses lubies, mais, en certains cas, il est celui qui dit la vérité. Ici face à Léa Salamé, provocante et surexcitée, à son ordinaire et Yan Moix, larmoyant et moralisant, lui aussi à son ordinaire. Dans On n’est pas couché, évidemment … LFAR
En attendant , on n’est pas sorti de l’auberge non plus .