Ce n’est sans-doute pas un « chef-d’œuvre ». Les cinéphiles le diront. (Cf. L’article précédent de Pierre Builly.
Mais il y règne une bonne dose de de réalisme et de franc-parler … Une sorte de drôlerie triste et mélancolique. C’était la Crise. En 1992. Cela a été vu et revu. Et cela continue car la fracture décrite ici n’a fait que s’élargir au fil des années.
Publié le 7 juin 2022 – Actualisé le 12.