Vidéo 21′ – Ce « jeune-homme » (27 ans) se dit « engagé à gauche, encore que… ». Il ne lui paraît ‘est pas très sûr que cette étiquette ni le clivage qu’elle recouvre soient encore capables d’expliquer les données politiques actuelles. Encore moins d’agir sur elles.
Comme la plupart des jeunes-gens de la nouvelle génération d’intellectuels engagés, il ne revendique pas une pensée politique aboutie mais plutôt des volontés concrètes, précises, en construction, face au monde tel que les élites ou pseudo-élites des cinquante dernières années a tenté de le construire et qui, peut-être, est en train de se lézarder, avant de se redéfinir en profondeur.
Nous laissons le lecteur découvrir plutôt vers la fin de cet entretien quelles sont les motivations politiques de Paul Melun. Elles devraient intéresser les continuateur de Maurras qui, à la fin de sa vie, écrivait : « Par la force des choses, un nationalisme français se reverra ».
On l’appellera comme on voudra, il prendra les formes qui découleront des réalités contemporaines, françaises et internationales, mais déjà, il se revoit.