Cette « note » est parue hier (21.08) sur l’une des pages de BFM TV sur la toile. Qu’en dire ? Peu de chose si ce n’est le commentaire qui suit, agacé, rageur et que celui qui l’a suscité n’a pas volé. Écrit par l’un des auteurs participant à la rédaction de ce blog.
« La science politique à l’écumoire et au torchon. Bécassine au gouvernement. Leur « progressisme » exclut manifestement l’intelligence mais se concentre sur la roublardise, la mystification, l’hypnose de fête foraine… Au fond, c’est quoi le progressisme ? le progrès du progrès ? On pense à l’accélération de la croissance des chroniqueurs économiques : le croissantisme, donc, aussi. Et l’élévationisme du niveau scolaire. De plus haut sera la chute et, selon le Dr Newton, la gravité du mal est une accélération de la descente vers la mort. Du « sot » ou pis ? ».
Par F.R. avec AFP.
Le ministre du Travail, dans une interview au JDD, affirme que « le progressisme a la possibilité de s’exprimer au sein de Renaissance ».
La social-démocratie n’a « plus de signification » et doit laisser la place à gauche à un « progressisme », défend dans une tribune au Journal du dimanche le ministre du Travail Olivier Dussopt, tenant d’une aile gauche du macronisme.
« On ne rebâtira pas la social-démocratie! », affirme l’ex-socialiste, « pour la simple et bonne raison que les glissements paresseux vers l’extrême gauche, dans un mouvement contre-historique, ont enlevé son sens au mot: il n’a plus de signification et n’indique plus de direction ».
Et Olivier Dussopt d’appeler à « tourner une page et se revendiquer pleinement du progressisme », défini comme l’aspiration au progrès « social, sociétal et scientifique, industriel et humain, éducatif et environnemental ».
« Le progressisme a la possibilité de s’exprimer au sein de Renaissance »
Le progressisme « met toute la société en mouvement, jamais à marche forcée, mais dans le dialogue, la concertation, l’écoute ; une méthode qui, sous la conduite du président de la République, accompagnera l’évolution de notre système de retraite par répartition », poursuit-il.
« Une évolution qui doit permettre des progrès nouveaux tels que la hausse des petites retraites à 1100 euros, aussi importante pour la justice sociale que le fut l’instauration du Smic. »
« Le progressisme a la possibilité de s’exprimer au sein de Renaissance », veut-il croire: « Il y a toute sa place. Mais il ne se limitera pas à cela, tout simplement parce que les grandes aspirations dépassent toujours le cadre des partis. Dans cette logique, il faut dorénavant que les progressistes se retrouvent, inventent et proposent. Il faut qu’ils se parlent clairement, pour parler clairement aux Français. » ■