Par Radu Portocala.
Ce court billet d’humeur et de colère écrit tandis qu’Ursula von der Leyen prononçait son discours effronté sur « l’état de l’Union » a rejoint notre agacement et notre indignation hostile du même moment. Qu’est donc, de quelle légitimité vraie dispose, cette dame-là pour dicter aux vieux peuples, nations et États d’Europe des politiques qui, sur divers plans, peuvent remettre en cause leur prospérité et même jusqu’à leur existence propre ? Dans l’état, justement, où se trouve l’U.E., l’idée du Frexit est sans-doute une incongruité. Mais remettre à leur place, réformer en profondeur, voire congédier ou fermer purement et simplement, les fonctionnaires, commissions, Cours de Justice, et autres constructions artificielles bruxelloises, devient un impératif. En tout cas, une exigence de l’intérêt français. Si, dans l’esprit des peuples, le projet européen n’est pas trop abîmé, si les intérêts des uns et des autres ne sont pas devenus trop divergents, il faudra sans-doute, alors, tenter la refondation d’une Europe des racines, des patries, des peuples et des États, de l’Atlantique à l’Oural. Et ce sera aux Chefs des dits États, réunis ou isolément, de l’annoncer solennellement. Ce jour-là, il serait de bon ton qu’Ursula von der Leyen demeure chez elle, à la maison.
« Notre bonne euro-présidente prendra pour nous les mesures qui nous feront nous sentir comme dans l’Union soviétique de 1960. »
En ce moment même, la lumineuse dame von der Leyen, indispensable à notre euro-bonheur, est en train de faire son discours sur l’état de l’Union (car, en cela aussi, nous nous devons d’être la photocopie de l’Amérique).
Son invité d’honneur à cet heureux événement est la bienheureuse dame Zelenska. Pourquoi ? Mais parce que l’héroïsme se transmettant comme la scarlatine, elle a attrapé celui de son mari. Lui rendre hommage de manière aussi européenne est indispensable à l’élévation de nos âmes.
Et puis, il y a probablement la croyance secrète que la famille Zelensky sanctifie la terre qu’elle foule, les personnes qu’elle côtoie, et accessoirement les banques discrètes. En la présence de dame Zelenska, notre bonne euro-présidente se sentira infiniment plus inspirée et prendra pour nous les mesures qui nous feront nous sentir comme dans l’Union soviétique de 1960.
Vive le culte de la personnalité familial ! Nous l’avions oublié depuis quelque temps. ■
Grotesque image de ces dames du parlement européen déguisées en groupies de l’Ukraine. Ainsi, là-bas, la guerre prend les allures d’un match de football dont elles soutiennent une des équipes en s’accoutrant du tricot portant ses couleurs. Extrême infantilisme de ceux qui décident pour nous. Comme elle est triste la fin que nous nous sommes choisie ! R.P.
De quel droit cette bonne femme nous représente ? je n’ai jamais voté pour elle, !
Parlement européen –
Intervention de Jordan Bardella face à Mme von der Leyen,
14 septembre 2022
Vidéo – 2 min
https://twitter.com/J_Bardella/status/1570007575222960128
NM
Quelle élégance! Ces couleurs ne vont pas ensemble et le jaune ne sied pas du tout aux blondes. On suggèrera à Frau von der Leyen un plus délicat « gris de campagne » en harmonie avec son autorité naturelle. Relisons notre Bainville tout y est. Heureusement pour lui il n’a pas vu ses craintes se concrétiser, pour nous c’est trop tard, il nous faudrait un Cincinnatus. Quoique…retournerait-il à sa charrue?