« Je suis frappée par la pudeur des mots. On parle d’habits « religieux » et non islamiques, d’ »atteintes à la laïcité » et non d’offensive islamique. 99,9% des signalements sont liés à l’islam, il faut le dire. On ne parle pas d’étudiants qui hurlent le pater noster. »
Reconquête ! a fait de la défense des enfants à l’école (et à l’université) l’un des axes de son action et l’un de ses thèmes de réflexion. Et c’est, évidemment à juste raison. L’école formera-t-elle de jeunes Français ou servira-t-elle à l’islamisation du pays, présent et futur en visant les plus jeunes ? C’est un enjeu capital.
Marion Maréchal développe ici, sur Europe 1, en un peu moins de 25 minutes, sans concession de vocabulaire ou d’expression des réalités, une analyse lucide et brillante de la situation du pays. On est heureux, à l’écouter, qu’elle ne pratique pas cette langue de bois politicienne que parlent les politiciens installés et qui a fini par dégoûter la plupart des Français. Marion Maréchal est de ceux, fort rares, qui parlent vrai…
Dans les 2 premières minutes de l’entretien, vous retrouverez ses fortes paroles sur cette « pudeur des mots » qui dissimule l’islamisation religieuse et sociale de la jeunesse de notre pays. Et qui passe aussi sous silence, selon Marion Maréchal, le retour grandissant d’une partie de cette même jeunesse à la religion traditionnelle et largement constitutive de la nation française.
ces 25 minutes méritent notre écoute.
On peut compter sur l’inaction, voire plus, du militant indigéniste, racialiste et woke qui sert de ministre de l’éducation nationale, et sur l’habituelle lâcheté de l’administration et la complaisance d’une partie du corps enseignant.
J’ai peur de me retrouver à plus de 90 ans dans l’atmosphère que j’ai connu enfant puis très jeune adulte dans l’atmosphère tendue de l’époque où j’accompagnait les faits et gestes d’un père prisonnier évadé , qui laissait la famille dans l’angoisse permanente d’une descente de police …
Mille excuse pour les fautes d’orthographe que j’ai oublié de redresser faute d’une relecture avant envoi
Merci