Par Radu Portocala.
Ce court billet de trois paragraphes – lucide et talentueux comme les précédents – est paru le 1er décembre sur la page Facebook de son auteur.
Par la voix de son ministre des Affaires étrangères, l’Ukraine exige que les pays occidentaux accroissent d’urgence leur production d’armement. L’OTAN, a-t-il dit, « doit commencer dès aujourd’hui la production des armes nécessaires. »
L’Ukraine ne veut plus, a ajouté le ministre, des hésitations dans le camp occidental, où des changements doivent avoir lieu dans « le processus décisionnel » quant à l’aide accordée à son pays.
Des propos comminatoires qui semblent suggérer que si l’Occident a jeté l’Ukraine dans cette confrontation, il a le devoir, au risque de sa propre ruine, d’en payer le prix. ■
Ils sont gonflés, cette guerre c’est leur problème
Cette stupéfiante outrecuidance mériterait simplement que l’OTAN claque la porte !
Ainsi que le suggère pertinemment Radu Portocala en son dernier paragraphe, très probablement, «l’Occident a jeté l’Ukraine dans cette confrontation»… Autrement dit, son pantin Zemlinsky est entièrement fondé à se montrer exigeant avec USA, Europe et OTAN. Il va de soi que si ces deniers avaient veillé convenablement à l’application des Accords de Minsk, la Russie n’aurait pas eu à intervenir comme elle l’a fait. Seulement, peut-être, l’Occident infatué de lui-même, a-t-il mésestimé les capacités de la Russie et se trouve-t-il deux fois «emprunté» : 1. Il risque de perdre la face ; 2. il est entièrement redevable à l’Ukraine, pays susceptible, un beau jour, de révéler le fond de l’affaire et des tractations. C’est là que se resserre le véritable nœud sur lequel peut impunément tirer le pitre Zemlinsky. Total, l’Occident a deux solutions seulement : entrer ouvertement en guerre ou bien payer et surpayer les dommages dont souffre l’Ukraine… Si l’Occident entre en guerre, est-il bien en mesure d’évaluer quelles forces seraient alors en présence ? Lorsque l’on avise les mines respectives des Maqueron et Bieden, il y a tout lieu de se faire du souci. En outre, l’Iran n’est pas une moindre puissance, non plus… Notre seul espoir tient à ce que le fumeux Occident consente à réaliser que, comme on dit, il ne fait probablement «pas le poids», d’autant moins qu’il doit compter avec les ennemis de l’intérieur, qu’il a eu la grande sagesse stratégique d’importer à foison… Eh ben, «on est bien montés», comme disait savoureusement ma feue grand-mère adorée.
Désolé, désolé.
Moi, petit français, je verrai bien 150 millions d’européens et moi et moi, vitrifiés, volatilisés. Pour la gloire des américains, ces fouteurs de merde partout où ils sont passés. Puis, ensuite, pour que l’Europe occidentale ne se relève plus de sa prétention à diriger le monde, j’espère voir les millions de mongoles venus des steppes de Sibérie et de Chine, venir chercher les survivants de chaque colonies américaine en Europe et les emmener dans les steppes orientales afin de les faire travailler à construire chez eux, ce qu’ils n’ont pas pu faire pour eux quand ils étaient « américains ».
Mais avant, quelques minutes avant la nucléation des nations européennes, de toutes celles dont les dirigeants vont en Suisse assister au WEF, il faudrait que l’ensemble des liens internet soit « coupé », afin que personne ne sache ce qu’il advient à l’Empire US.
Personne ne doit savoir, comment va disparaitre ce continent nord-américain. Et ses survivants ne devraient avoir pour se chauffer dans l’hiver gazeux de la sublimation atomique, crée par 3 ou 4 pays qui ne voulaient pas vivre avec « les règles et les principes démocratiques du Monopoly américain », qu’avec les montagnes de papier monnaie intitulé dollar.
Bien sûr, je rêve, mais parfois, le rêve dépasse la réalité. Alors, comme je suis un peu plus lucide que nos « gouverneux parisiens », alors, j’attends que s’applique la prophétie disant : « Malheur au pays dont le prince est un enfant ». Et qu’il eut suffi que la « grande muette », ouvre sa gueule pour que tous ces malheurs n’accablent l’ensemble de l’Europe chrétienne.
Je suis toujours désolé, car si Saint Thérèse a dit que le monde serait sauvé, grâce à la prière d’un enfant, alors en France, on est fichu. Notre prince n’a pas d’enfant.
Et est-ce un « prince » ? Je me fie plutôt aux paroles du Christ à propos du scandale fait à un enfant….. L’enfant n’en peut jamais guérir… Il en serait donc « malade » pour toujours ? Et nous et nous qu’allons-nous devenir ?